C’était un grand possédé, un saint prêtre de la déesse de la Folie, du Hasard, de la Magie. Son maître, et le maître de son maître, avaient été peintres. Ils avaient fixé sur la toile des oeuvres que la plupart des gens n’étaient pas capables d’appréhender. Le Fléau de Feen - il fallait l’appeler ainsi car, dans cet état-là, il était réellement plus que Mahrnör- marchait sur les traces de ses maîtres. Une hache à la main.