Le chef des boueurs ne se donna plus la peine de se retourner, de regarder, ni même d’écouter. Il se gratta la nuque et dit en haussant les épaules :
– Tu rêves, Aglaé ! Tu rêves. Ce n’est que l’herbe qui pousse. Oui, ce n’est que l’herbe qui pousse !
(fin, page 315)
Noaptea de primăvară, rece şi înaltă, îşi aprinsese toate stelele.
Aglaia tot mai bodogănea:
-Grigore, trece spărgătorul de lemne, tu nu-l auzi?
Bărbatul ascultă puţin şi spuse dînd din umeri :
-Ţi se pare, creşte iarba...
On peut tout cacher en ce monde, mais ce qu'on a dans le cœur, non. Parce que les amours sont comme les herbes folles, elles poussent dans les anfractuosités du cœur et finissent par percer au jour.