Plusieurs années avant la guerre américaine en Afghanistan, Barbara Walters, journaliste, avait écrit un article sur l'égalité des femmes à Kaboul. Elle avait noté que les femmes marchaient respectueusement à dix pas derrière leur mari. Elle est revenue à Kaboul récemment et a remarqué que les hommes marchaient maintenant à plusieurs pas derrière leurs épouses. Barbara Walters s'est alors approchée de l'une des femmes afghanes et lui a dit :
- C'est merveilleux ! Pouvez-vous dire au "monde libre" ce qui a permis aux femmes d'obtenir ce renversement de rôles ?
- Ce sont les mines antipersonnel, a répondu l'Afghane sous la burka.
La profanation des vagins est une arme de destruction massive des femmes et des fillettes par les nouveaux sauvages. Dans toutes les guerres oubliées de la planète, les vagins sont massacrés. Leur destruction est systématique, généralisée, planifiée... Les crimes sexuels de masse contre les femmes sèment le sida, les viols à grande échelle engendrant une contamination dévastatrice de cette "peste démographique .
-- Soyez plus discret, Excellence. On est au téléphone.
-- Qu'est-ce que tu veux, j'oublie toujours que tu vis au pays des droits de l'homme, que tu risques d'avoir des problèmes. Pour ma part, je ne cours aucun danger. Ici, je fais ce que je veux. Hé, hé, ici, il n'y a pas d'Etat. ici, personne ne comprend ce que cela veut dire. Ici, il n'y a plus rien. Il n'y a que moi et moi. Tous les autres ne sont que des cocus vivants, des cocus ambulants.
"J'ai perdu", se dit Makwa, nu, couvert de plaques de poussière amalgamée par la sueur, de boursouflures de piqûres de moustiques, des herbes sauvages accrochées à ses cheveux, ensanglanté, il songea à se rendre.
"L'inspecteur Robert Nègre écouta sans mot dire les réflexion de Bourru. Ce dernier lui paraissait trop surfait pour être authentique. Il le trouvait au mieux quelconque et au pire vaniteux. Il se retourna une ultime fois pour dévisager le journaliste. Les derniers badauds rôdaient encore sur la chaussée où l'on avait retrouvé les cadavres des Africains."
Vous répétez sans arrêt que le crime ne fait pas partie de la tradition africaine. Et pourquoi les prisons africaines sont-elles pleines d’innocents ? Pourquoi y-a-t-il tant de réfugiés africains dans le monde ? Pourquoi demandent-ils tous l’asile politique en France ?
Le délire négateur est toujours la matrice du délire criminel.
Le règne de la terreur va toujours de pair avec le règne de l'impunité.