« Allez, marche, encore un petit effort ! » me suis-je dit, essayant de me reprendre. C’est alors que je l’ai vu : devant moi se dressait un mystérieux petit sanctuaire. Sans la moindre statuette de Jizô ni aucune autre statuette d’ailleurs ; et s’il était orné d’offrandes - fleurs, saké et grues en papier plié -, celles-ci ne dataient pas d’hier. J’ai été incapable de chasser l’idée qui me passait par la tête.
« Un esprit maléfique rôdait autrefois dans ce coin, et c’est sûr qu’il est encore là. »