Il se sentait si seul qu’il allait chaque semaine chez le coiffeur, uniquement pour se faire toucher le crâne par une femme. Comme, par principe, il refusait d’aller voir des professionnelles, il allait chez le coupe-tifs. Parce que c’était moins cher que les masseuses. Il donnait toujours un peu plus pour que le shampooing dure longtemps. Et puis un jour, la calvitie est arrivée… Il s’est pendu.