Citation de katizen
Lire Barbara Abel c’est accepter de se faire malmener, de souffrir avec ses personnages, d’en adorer certains et en haïr d’autres. J’étais prévenue, mais malgré tout je suis tombée dans le piège qu’elle tisse pour nous.
Avec Duelle l’auteure tient sa promesse de nous surprendre toujours plus.
Je ne dirai rien de l’intrigue, j’ai seulement envie de préciser que j’étais sûre d’entrevoir, de deviner certaines fausses pistes, et j’étais très loin d’imaginer jusqu’où Barbara Abel pouvait aller.
Car une fois de plus dans ce livre elle brouille les cartes, dépasse les limites, et son machiavélisme atteint des sommets !
L’auteure nous offre un puzzle, nous montre le dessus de la boite avec un sourire en coin (c’est ce que j’aime imaginer) et une fois le puzzle terminé, c’est un tout autre paysage qui s’offre à nous, et c’est là où réside tout son génie. Elle nous manipule et on aime ça.
Une fois la dernière page tournée, on se refait le film et on comprend.
J’aime ce sentiment de m’être fait avoir, et d’être passée à côté du principal, délaissant certains indices, d’infimes détails, au profit d’autres.
Chaque phrase, chaque mot a une place importante.
Avec Barbara Abel il faut prendre de la hauteur, au risque d'avoir le vertige.
Un très gros coup de cœur.
Merci pour le frisson
Avec Duelle l’auteure tient sa promesse de nous surprendre toujours plus.
Je ne dirai rien de l’intrigue, j’ai seulement envie de préciser que j’étais sûre d’entrevoir, de deviner certaines fausses pistes, et j’étais très loin d’imaginer jusqu’où Barbara Abel pouvait aller.
Car une fois de plus dans ce livre elle brouille les cartes, dépasse les limites, et son machiavélisme atteint des sommets !
L’auteure nous offre un puzzle, nous montre le dessus de la boite avec un sourire en coin (c’est ce que j’aime imaginer) et une fois le puzzle terminé, c’est un tout autre paysage qui s’offre à nous, et c’est là où réside tout son génie. Elle nous manipule et on aime ça.
Une fois la dernière page tournée, on se refait le film et on comprend.
J’aime ce sentiment de m’être fait avoir, et d’être passée à côté du principal, délaissant certains indices, d’infimes détails, au profit d’autres.
Chaque phrase, chaque mot a une place importante.
Avec Barbara Abel il faut prendre de la hauteur, au risque d'avoir le vertige.
Un très gros coup de cœur.
Merci pour le frisson
