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Critiques de Barbara Cartland (216)
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Une trop jolie gouvernante

Ce titre attire mon attention. J'ai du lire ce livre durant mon adolescence.

Quant à l'histoire, le résumé me dit quelque chose, mais l'histoire semble tellement être un cliché des romans à l'eau de rose que ce n'est pas étonnant...

Bref, je n'en ai pas vraiment de souvenirs, bon ou mauvais.

Quoiqu'il en soit, aujourd'hui, je n'ai pas envie de relire ce genre de livres...
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L'aube de la passion

Afin de ne pas mourir idiote et sous couvert de développer l'éclectisme de mes lectures, je me suis aventurée à lire ce mince cale-porte de Barbara Cartland. D'une manière générale je suis admirative devant toute oeuvre prolixe même si, on le sait, la quantité n'est pas toujours le gage de la qualité ; j'étais donc tout de même assez curieuse de lever un coin du voile (pour moi opaque) recouvrant le succès intergénérationnel de cette auteur de bluettes.



Le résultat est conforme à mon a priori (plutôt négatif), pour ne pas dire à mon appréhension. Non pas que la lecture en elle-même soit déplaisante ; je trouve au contraire que la narration est fluide et le roman se lit très vite. Par contre, à moins d'avoir (et je demande aux aficionados de m'excuser s'ils prennent mes propos pour de la condescendance) un pois chiche en guise de cerveau, je ne vois pas comment une intrigue aussi dénuée de suspense, d'originalité et d'émotion peut émouvoir un lecteur. Je mets d'ailleurs quiconque au défi d'échouer à deviner 20 pages à l'avance ce qui va se passer, comment "l'action" va évoluer ou quelles seront les paroles échangées par les protagonistes.



Je ne renouvellerai pas l'expérience, mon opinion est arrêtée. A réserver au pré-adolescentes fleur bleue. C'est "gentil", innocent, pudique (voire prude) et absolument inoffensif.
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Messagère de l'amour

Un entre-deux…



Je m’explique, ce n’est pas du gnangnantisme romanesque guimauve à vomir mais ce n’est déjà plus l’auteure du roman précédent plus historique et documenté, un entre-deux en fait.



Une toile de fond bien maîtrisée avec une reine vieillissante toujours entourée de jeunes courtisans et qui doit continuer à se battre contre une Espagne vorace qui garde des partisans acharnés sur le sol anglais. Une jeune héroïne un peu trop sosotte et pourtant courageuse, une affreuse méchante et perverse mais très très perverse, un jeune traître amoureux et malhabile et un héros par trop sérieux ; un mélange amusant mais qui parfois traîne un peu en longueur même si le roman est court ;-)
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Un mal cache

J’ai été bluffée !



On est loin ici d’une romance à l’eau de rose avec des midinettes fleur-bleue et des minauderies à n’en plus finir. L’héroïne est une jeune écossaise, envoyée à la cour de France pour épauler sa jeune reine, Marie Stuart et rien ne se déroulera comme prévu. Des deux, la jeune reine est la moins innocente, la plus délurée et surtout, elle méprise son pays rude, froid et sauvage ; son rêve devenir la première à coiffer trois couronnes : outre celle d’Écosse, celle de France qui lui est promise et surtout, celle d’Angleterre qui doit lui revenir d’après les généalogistes et les légistes français.



Si romance il y a bien, elle est plutôt noire que rose avec les bûchers des réformés, les messes diaboliques de Catherine de Médicis, les intrigues mortelles entre le clan de Diane de Potiers et celui de la Reine. Et pourtant, c’est bien un Barbara Cartland, l’auteure me sidère, je ne la reconnais pas ;-)
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La flamme d'amour

Franchement, pas mal du tout !



J’avais besoin du mot ‘amour’ dans un titre de roman pour un challenge, rien de plus facile à trouver dans ma réserve de Barbara Cartland ;-) Une auteure que j’ai beaucoup lu étant très jeune et qui bien sûr fait fleur bleue maintenant, n’empêche, il y a quelques perles dans sa production immense et ce roman en fait partie.



Bien écrit, super bien documenté sur la fin du XIXème siècle à Paris et sur les usages chez les familles américaines ultra-riches en ce qui concerne le mariage des héritières, une héroïne attachante même si parfois elle fait gnangnan et comme premier rôle masculin, un personnage complexe, inattendu et très bon guide pour expliquer le Symbolisme et les dérives de l’occultisme à l’époque.



Une lecture avec Verlaine, un spectacle avec la Goulue, un repas à la Tour d’Argent et une promenade sur les quais de Seine sous les étoiles et les lampadaires électriques, quoi de plus romantique… Une lecture rapide qui m’a pourtant beaucoup appris :-)
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Les larmes de l'amour

Un roman qui traînait, je cherchais quelque chose de léger, voilà, c'est comme cela qu'il m'est resté entre les mains ;-)



Une auteure dont j'ai dévoré les romans à l'adolescence, que j'ai préféré lire en français qu'en VO, qui me faisait un peu rêver et que j'ai finalement abandonnée car j'avais trouvé mieux ! Bon, à cet âge tendre, je lisais aussi goulûment Jules Verne et pourtant, c'est pas du tout le même monde.



J'ai été particulièrement surprise de la qualité de ce récit, pas trop mièvre, pas trop répétitif (bon, il y a quand même le thème de la trahison qui revient assez régulièrement…), pas trop fleur-bleue non plus et surtout, pas mal documenté sur la relation diplomatique et surtout économique entre l'Angleterre et l'Argentine à la fin du XIXème siècle.



Une belle histoire qui se lit vite et qui m'a appris notamment l'origine des cargos congélateurs :-p
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Le corsaire de la reine

Pas mal :-)



Faut dire que traverser l’Atlantique sur un navire en tant que corsaire de la reine Elisabeth, c’est une aventure ! Revenons au début, un jeune marin, officier de Francis Drake pendant dix ans veut se mettre à son compte pour se faire un nom, pour établir sa fortune et aussi peut-être pour être anobli par le reine, tout un programme. Reste le plus dur, le point de départ : trouver l’argent pour acheter et affréter un navire et c’est là que trouver une fille à marier bien dotée s’avère crucial. Et c’est le début d’un voyage mouvementé !



Bien documenté sur cette période de l’histoire ainsi que sur les difficultés rencontrées par les corsaires lors de leurs courses en mer l’auteure, pourtant friande de minauderies, arrive à faire passez une jeune fille pour un garçon le temps d’un voyage et rien que cela, c’est pas mal du tout :-p Bon, je ne vais pas vous mentir, ça aurait pu être bien mieux sans certaines longueurs inutiles et pleurnicheries qui n’arrivent d’ailleurs que sur le retour…



Manifestement un roman qui fait partie de la série élisabéthaine de Barbara Cartland, série plus étoffée que ce qui finalement a fait sa renommée à savoir les romans à l’eau de rose de l’époque victorienne même si quelques titres méritent le détour. Un roman bien utile pour la dernière ligne droite d’un challenge de lecture qui se termine bientôt ;-)
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Aime-moi pour toujours

Waouh !



Oui, waouh, car là, l’auteure que je connais depuis ma prime jeunesse m’a vraiment scotchée. Ce n’est pas une romance fleur bleue et pourtant l’héroïne pourrait coller au rôle. Ce n’est pas juste un roman d’amour même si d’amour il est bien question. Ce n’est pas une histoire où la fin est

prévisible car ce n’est pas le cas. Alors oui, waouh !



L’auteure quitte l’Angleterre et place son récit en France juste avant la révolution. La toile de fond est super bien documentée et interpelle sur l’implication d’une partie de la noblesse dans le clash sanglant et terrifiant qui va suivre. On retrouve dans cette aventure plein de personnages historiques vus par les yeux d’une anglaise qui ne les ménage pas et ce n’est pas mal du tout. Bon, c’est un roman rose et non un documentaire historique, n’empêche ça fait un peu réfléchir quand même ;-)



Une fin surprenante donc où l’héroïne se marie, où le héros reste célibataire et pourtant, ils s’aimeront à jamais. Une énigme à résoudre car moi, je ne l’ai pas vraiment comprise ;-)
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Des fleurs pour mon amour



Dans un Paris sous le second Empire animé par une Exposition Universelle, un prince russe tombe amoureux d'une ballerine qui ne salue jamais son public. Obsédé par Lokita, il fera tout pour pouvoir l'approcher.



Avec Barbara Cartland, point de surprise. Toujours un contexte historique suffisamment documenté pour planter le décor et une romance surannée qui ne me fait pas rêver. Si je n'avais pas une case de Challenge à compléter, je n'aurais peut-être jamais déterré ce roman du fond de ma PAL (j'en suis encore à me demander comment il s'y est retrouvé d'ailleurs).



Bref, ça se laisse lire, mais finalement pas aussi vite que je n'aurais voulu parce que je n'ai trouvé aucun vrai intérêt au sort des personnages.
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Un mariage en Ecosse

Les livres de Barbara Cartland ont été, juste avant les livres de la collection Harlequin, ma première incursion dans les romans à l'eau de rose. Ma mère en avait une floppée que, à l'aube de mes 18 ans je me suis délectée à lire.

Le romantisme à l'ancienne me faisait rêver.

C'était toujours plus ou moins les mêmes histoires : un jeune fille et un jeune homme que tout oppose se rencontrent, souvent dans des conditions improbables et petit à petit on voit éclore leur idylle. Souvent ils côtoient des cercles différents, l'homme faisant partie de la "haute", la "noblesse", la femme quant à elle est désargentée. Et pourtant, l'amour les réunit.

Je rêvais d'être cette demoiselle en détresse qu'un jeune homme riche et beau remarque. Je m'identifiais à cette héroïne. Ah... Que l'on peut-être naïve à 17 ans...





Un mariage en Ecosse est un Barbara Cartland classique. Alistaire McDonon devient marquis d'Ecosse suite à la mort de ses deux frères ainés. Vivant à Londres, il se voit obligé de remettre les pieds dans le pays qu'il a fuit étant petit et le comble c'est qu'il doit en plus épouser une femme d'un clan rival, qu'il ne connaît pas (tradition oblige et ordre de papounet). Il va tout faire pour contrecarrer les plans de son père honni.



Plus de 20 ans après mes premières lecture du genre, j'ai remis le nez dans un Barbara Cartland. Et avec le recul, je me rends compte du côté un peu "gnagnan" de ce genre de lecture (même si les Harlequin restent tout de même assez morderne). L'attitude du héros que je prenais à l'époque pour du romantisme pur et dur passe aujourd'hui pour du machisme. "Je suis un homme et je me dois de sauver une demoiselle en détresse qui ne demande que ça".



Et pourtant, je n'ai pas détesté ma lecture. ça change. ça détend l'esprit et ça fait sourire.
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L'amour enchanteur

Juste un petit roman qui se lit vite et bien.



Bon, c’est du Barbara Cartland, c’est pas le top de la littérature romantique mais c’est bien documenté sur cette noblesse anglaise dont l’auteure a fait son fond de commerce. Ainsi, une belle-mère adepte de magie noire, méchante et jalouse, une héroïne courageuse et fragile et un héros à la vie dissolue avec le cœur d’un ange… Ben oui, un peu gnangnan sur les bords même si le roman est loin d’être un conte de fée pour le coup.



Une lecture pour franchir une étape d’un challenge et pourquoi ne pas puiser dans mes ressources inépuisables de Barbara Cartland, souvenir d’adolescence avec les romans de Jules Verne :-p
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La belle et le léopard

Pas le top et pourtant, ça se lit bien :-)



Bon, je le savais, c’est guindé, mièvre et très fleur-bleue mais bon, comme j’avais besoin d’une orpheline pour un challenge, j’ai pris le premier roman que j’avais sous la main :-p



Pour être honnête, la toile de fond du récit est super bien documentée. L’Angleterre a été pendant et après les guerres napoléoniennes la proie des contrebandiers en tout genre qui ont bien profité des kilomètres de côtes aux falaises abruptes difficiles à surveiller par les douaniers. Pour le style, c’est pas mauvais, ça manque juste de punch et d’authenticité. Pour moi, le pire, ce sont les personnages, plats, sans réelle consistance ; ils manquent de vie, d’humour, faut dire que se plonger dans la prière dès qu’il y a un problème n’aide pas…



C’est vrai aussi qu’il n’y a aucune ressemblance entre un lord guerrier de Barbara Cartland et un Highlander de Monica McCarty, le clash entre les deux est assez violent :-)
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Le duc et la fille du pasteur

Pour sortir d'un mauvais pas son cousin et héritier, le duc de kingswood décide de lui choisir sa future femme.

Ayant fait vœu de célibat, il n'aura pas d'héritier et son cousin lui fera suite au duché.

Il va se mettre en quête de la perle rare, une jeune demoiselle cultivée, sage et surtout pas cupide, et la providence va mettre sur sa route un pasteur très malade et sa fille.

Mais ne va-t-il pas se faire prendre à son propre piège.

Malgré les conseils avisés de son meilleur ami, il se lance quand même dans cet énorme défi, sans vraiment réfléchir aux conséquences et encore moins sans demander l’avis des deux principaux intéressés.

L'histoire est courte, très simple et rapide, l'écriture très fluide, le livre se termine rapidement. On passe un bon moment au sein de ce duché surtout que les personnages sont très agréables, on s'attache vite à tout ce petit monde, dommage que le livre se finisse trop vite.
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Le château des effrois

Une lecture sympathique !



Jaela est une jeune femme belle ,riche et intelligente qui vient de perdre son père. En plein deuil et cherchant une occupation pour se distraire elle va se voir proposer d'accompagner une jeune fille chez son père (qui ne l'a pas vu depuis la fugue de sa femme il y a 4 ans).



Vous l'aurez compris la fin est facile a deviner et l'histoire semble mille fois vue et revue, mais dans ce roman il y a aussi une part de mystère car le père de l'enfant vit dans un château où à déjà eu lieu une disparition et il semble très mystérieux.



J'ai aimé passer un petit moment avec ce livre court, qui fait bien son boulot si je puis dire. La romance est mignonne même s'il y a pas mal de raccourcis et certaines invraisemblances. .. J'ai aussi aimé le personnage de la petite fille et ses relations avec Jaela et son père.



En bref, un petit livre tout mignon pour les amateurs de romance et de Barbara Cartland.
Lien : http://lemondedeparaty62.ekl..
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Les deux cousines

Pas mal du tout !



Pourquoi un Barbara Cartland me direz-vous alors qu’il y a tant d’autres lectures qui m’attendent et que j’attends ! Ben pour le challenge Coeur d’Artichaut bien sûr :-)



Faut dire que des romans de cette auteure, j’en ai une réserve. Réserve qui n’est plus dans ma bibliothèque principale et qui garni avec les romans jeunesse et les livres pour petits la bibliothèque de la salle de jeux des enfants, oups, des petits-enfants maintenant ;-) Si j’en ai lu beaucoup disons il y a cinquante ans, je me les réserve juste pour les challenges de lecture et ça me dépanne souvent.



Venons-en à la critique et je dois dire que ce roman n’est pas mal du tout. Bien sûr, c’est une romance mais les deux héroïnes, deux cousines, ne sont ni gnangnans ni fleur bleue. Bien sûr, tout est cousu de fil blanc et pourtant, l’amour et la haine ont des détours qui sont parfois bien biscornus. Bien sûr, la fin est prévisible, n’empêche ici on ne pouvait pas clairement imaginer le feu d’artifice final avant le dernier chapitre. L’auteure a fait fort :-p



Par rapport aux romans actuels du même genre, ça manque de peps, d’humour et de piment et pourtant, j’ai appris la misère de la population du nord de l’Angleterre au début du XIXème siècle, je me suis souvenue des soldats oubliés sur le continent et qui étaient déclarés morts au pays, j’ai mieux compris les motivations de certains mariages ‘people’.



Bon, le style est un peu vieillot ainsi que les idées de l’auteure sur le statut des jeunes demoiselles et des marquis. N’empêche, le vocabulaire est riche et ça se lit bien et je vais pouvoir passer à l’étape suivante du challenge ;-)
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Romance à l'italienne

Bon je l'avoue c'était pas une grande romance. Un peu les feux de l'amour ou les films de princesses où tout s'arrange. C'est rapide, cela fait penser à Cendrillon et sa belle mère. Un mariage avec un richissime sans amour, et donc une jeune femme qui fait tout pour éviter cet arrangement grâce à son amie et à un travail de secrétaire avec un professeur dont elle tombe amoureuse.
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Le château des effrois

Le château des effrois est ma seconde rencontre avec la plume de Barbara Cartland. Le résumé promettait du mystère et éventuellement un romantic suspense historique... il n'en est rien. Tatika ne met en effet les pieds dans le fameux château écossais que dans la seconde moitié du roman.



Avant ça, l'intrigue prend place à Londres à la fin du 19e siècle, en pleine saison des bals, où Tatika peine à repousser les prétendants qui lui tournent autour tels une nuée de moustiques. Mais entre les jeunes gens bien élevés qui comprennent rapidement que non, c'est non, et lord Crowley, prêt à toutes les bassesses pour poser les mains sur elle, il y a un gouffre. Crowley n'est pas seulement ce que l'on appellerait de nos jours un gros dégueulasse, il est également très malin et n'hésite pas à détourner les codes sociaux en vigueur à l'époque pour parvenir à ses fins. D'autant que la belle-mère de Tatika serait ravie de faire d'une pierre deux coups, d'une part en récupérant le père pour elle toute seule, de l'autre en bénéficiant directement de l'avancée sociale de sa belle-fille.

La lecture de la première moitié du livre s'avère donc incroyablement pesante tant ces deux personnages se montrent abjects. Une chose est sûre, Barbara Cartland excelle dans l'art de rendre ses antagonistes détestables à souhait et l'on grimace de dégoût en même temps que Tatika. Si l'on a l'impression que le calvaire dure une éternité, c'est peut-être parce que l'on s'attendait à autre chose, mais l'on ne peut pas nier le talent de l'autrice pour nous immerger aux côtés de son héroïne.



Mais du coup, ça signifie qu'il reste à peine 70 pages pour expédier Tatika en Écosse, lui faire rencontrer le duc et découvrir la vérité sur le drame survenu chez lui. Si le voyage s'avère enchanteur, avec de jolies descriptions de paysages, on se rend rapidement compte que l'enquête promise par le résumé n'existe pas. Et si la relation de Tatika avec sa nouvelle patronne est plutôt bien narrée, la romance se révèle d'emblée être le gros point faible du livre. Et pas du genre « élément le moins réussi », plutôt « qui tire vers le bas et plombe complètement un roman jusque-là plutôt pas mal ». D'un côté, on échappe au cliché du coup de foudre au premier regard, de l'autre, on a droit au grand amûuuur sans que les personnages n'aient échangé plus de dix phrases ensemble, maladroitement justifié par des histoires de destin et de potentielles vie antérieures. En tout cas, Tatika et Magnus y croient dur comme fer. Et vas-y que ça se jure un amour éternel alors qu'ils ne. se. connaissent. pas. A grands renforts de phrases horriblement mielleuses qui donnent un aspect très daté au truc. Certes, ça a été écrit dans les années 70, mais quand même !

Quand au crime non résolu... eh bien, les réponses tombent toutes seules. Tatika n'a strictement rien à faire pour que la vérité surgisse au grand jour...



Bref, ça commençait bien, très bien même, avant de sérieusement se casser la figure. Et c'est dommage, parce que c'est plutôt bien écrit, avec un joli décor ainsi qu'une héroïne débrouillarde pour son âge et son époque. Mais l'intrigue retombe comme un soufflé, le dénouement arrive trop facilement (qu'il s'agisse du mystère, de la romance ou du harcèlement) et l'on referme le livre sur un sentiment mitigé.
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Un rossignol chantait

Lire un livre de Barbara Cartland, au moins un dans toute sa vie... Avec toutes les romances qu'elle a écrite ( et qui ont leur beau succès à une certaine époque), il faut bien en lire au moins un !

Que dire ??!! Je ne sais pas si j'ai les mots pour évoquer l'ennui incommensurable que ce livre m'a procuré... non, vraiment, je ne trouve pas ! Mourir d'ennui voilà ce qui failli m'arriver !

Ou mourir de rire aussi ! Oui, les envolées de passions sont tellement grossières et démesurées, que j'ai failli m'étouffer de rire !

Bref, Barbara Cartland, j'ai lu, j'ai su (que ce n'était pas pour moi) et j'ai (été) vaincu !
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Vivre avec toi

Père et Mère. Un mariage. Une fille, Doriana.

Un deces. Mère et fille encaissent les dettes. Solution? Épouser un homme riche pour sauver le château sauf que les dettes persistent. Doriana va t'elle faire la même chose? Pour faire plaisir à Mère ou va t'elle ecouter son coeur?



L'histoire est très attachante, dure de s'en défaire. Je l'ai lu en quelques heures.
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Le retour de la belle inconnue

Je vous rassure tout de suite, dans le cadre du challenge multi-défis, c'est ma lecture romance pour l'item « Un roman de la littérature jeunesse ou jeune adulte ». Ici, il ne s'agit pas d'un livre rouge, parlons plutôt d'un livre rose, bien rose ;-)

L'auteure est une Dame, bien connue de la société anglo-saxonne, qui s'est spécialisée dans l'écriture, à la chaîne il faut quand même le dire, de romances à l'eau de rose. Bien au fait des us et coutumes et des règles diverses et variées de la haute société anglaise, elle se plaît à y faire vivre des jeunes filles pauvres (ou riches) qui deviendront de belles princesses et des princes pauvres (ou riches) qui deviendront des hommes.

Pas vraiment de grandes figures de style ni de fioritures dans l'écriture, pas d'humour non plus, ça doit être mal vu, rien de vulgaire ni de salace, et parfois de belles descriptions de jardins, de châteaux, de toilettes et de réceptions. En gros, juste de gentilles petites histoires, de mignons contes de fée qui se terminent toujours bien.

Des lectures pour jeunes ados romantiques qui rêvent du Prince Charmant et qui manquent d'imagination et encore, je ne suis pas certaine que ce genre de lecture soit toujours au goût du jour, ça manque de zombies ;-)

J'ai choisi ce titre en particulier car c'est, d'après mes souvenirs et ils datent maintenant, un des meilleurs de l'auteure et ce n'est pas juste mon avis, mes trois filles le partagent ;-)

Encore un petit point à signaler, Barbara Cartland se lit mieux en français qu'en VO… Ses traducteurs ont clairement un vocabulaire plus riche et un style plus poétique qui rendent la lecture beaucoup plus agréable :-)
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