Après la mort de ta mère, j'ai traversé une profonde dépression. J'ai perdu tant d'êtres chers au cours de ma vie, Anne, on ne peut pas échapper à la douleur lorsqu'on les a aimés. Mais la douleur est aussi un bon révélateur, elle nous montre que nous sommes capables d'aimer. (p. 327)