Ce n'est pas mon mal-être qui m'étouffe, c'est la constatation que je le traîne tel un boulet depuis des années. Chaque fois que je regarde à l'intérieur de moi, je vois Tonio qui me rit au nez et çà me déchire de l'intérieur.
Les larmes qui coulent sur mes joues se mêlent à la pluie. Le ciel pleure en écho...