Cependant, les discours de Churchill et les circonstances de la conquête du pouvoir par les communistes en Europe orientale annonçaient la « guerre froide ». Il suffisait d’attendre. On le sait aujourd’hui, on ne le savait pas encore : contre toutes prévisions raisonnables, Franco gagnerait son pari. Viendrait le temps où, en réécrivant l’histoire de ses intentions, il se poserait en précurseur.