Tout cela est peut-être la faute des mots, se dit Tom.
Grâce à eux et à cause d'eux. Il se souvenait nettement de l'impression de désolation qui s'emparait de lui auparavant, pendant un long, très long moment, quand il n'arrivait pas à trouver un mot. Il se rappelait la déception et la colère qu'il ne parvenait pas à exprimer qu'en serrant les poings, parce que même s'il se tapait la tête, les mots, s'ils ne voulaient pas sortir, ne sortaient pas. Rien n'y faisait.