Benjamin Rabier

Les fables De La Fontaine font un peu partie de notre culture commune. Qui en effet, ne connait pas le corbeau et le renard, le lièvre et la tortue, la cigale et la fourmi ?



Mais, les fables (très inspirées par celles d'Esope, passons…) constitue une oeuvre dense et variée qui va bien au-delà des quelques exemples cités plus haut.

Elles ont longtemps tenu lieu de support à la sagesse populaire, car leurs messages et leurs morales sont accessibles à tous (lire "Le confort intellectuel" de Marcel Aymé)



Parmi les très nombreuses éditions illustrées des fables, quelques-unes sortent du lot, dont celle de Benjamin Rabier.



Paru en 1906, cet album reste très actuel dans sa forme. Rabier illustrateur vedette des livres jeunesse au début du siècle dernier, déploya pour cette oeuvre tout son talent.



Rabier est resté célèbre pour ses illustrations anthropomorphiques (dont une fameuse vache fromagère !) avec La Fontaine, il a trouvé un thème tout à fait en accord avec son talent de dessinateur animalier.



Ses animaux, caracolent, cabriolent, rient et grimacent, débâtent avec toujours une grande expressivité, mais les humains très présents aussi dans les fables sont également croqués avec talent.



Plus de cent ans après sa première édition, "Fables de la fontaine" constitue toujours un album à lire, relire et faire lire...

Mistigri, la chatte de la ferme, vient de donner naissance à quatre adorables chatons. Mais il s'avère que l'arrivée de tant de nouvelles bouches à nourrir mécontente l'agriculteur, bien décidé à s'en débarrasser. Mais c'est faire fi un peu vite de la solidarité entre animaux et de l'instinct de survie de chats particulièrement malins.



Pour le lecteur nostalgique des dessins du grand Benjamin Rabier, il est impossible de ne pas éprouver un grand plaisir à se replonger dans les aventures de Mistigri. Plaisir double quand il s'agit de transmettre à une nouvelle génération toute la richesse d'illustrations superbes, de scènes cocasses, de personnages à poils et à plumes attachants et d'un texte au vocabulaire délicieusement suranné.



Sur ce dernier point, le vocabulaire, je voudrais d'ailleurs insister car c'est désormais si fréquent d'ouvrir un album jeunesse et de découvrir un récit simpliste, minimaliste voire neuneu, que les tournures de phrases et la véritable essence littéraire de la narration de cet album en font un régal à la fois pour les yeux et pour l'esprit.





Challenge PETITS PLAISIRS 2016

Voici un classique de la littérature française médiévale, ici présenté dans une édition illustrée par l'excellent Benjamin Rabier.



Bien avant le que le sieur Disney ne bâtisse un empire sur le commerce d'animaux humanisés, Benjamin Rabier avait maîtrisé à merveille le principe d'anthropomorphisme qui ferait le bonheur des petits et des grands jusqu'à nos jours.



L'illustrateur qui conçut le visuel hilare de "la vache qui rit", savait mieux que quiconque avant lui donner des mimiques et des expressions à toutes sortes d'animaux.

Le roman de Renard, lui donna l'occasion d'exprimer pleinement ce talent.



Notons, que nous lui devons également de très belles illustrations des fables de la Fontaine, autre classique qui transcende les générations (bon, d'accord, c'est un peu le propre des classiques, ne pinaillons pas je vous prie !).

Faut-il faire une critique du "Roman de Renart" ?

Nous en avons tous étudié quelques extraits dans une classe queconque, avec un prof qui nous a donné envie... ou pas !

En tout cas, il faut s'y replonger quand on est adulte. Une fois de plus j'en arrive à me dire que les études sont faites pour les adultes (Je vais être haï par plein de gens), en tout cas que quand on aborde certains livres avec le recul que donne le poids des années, c'est quand même très différent.

Je vous conseille de vous y replonger de temps à autres, c'est étonnant.

Les rééditions des œuvres de Benjamin Rabier sont si rares et se font avec des tirages tellement vite épuisés que l'on ne peut que conseiller de se procurer cet ouvrage et espérer que les éditions Circonflexe poursuivront la réédition des autres titres de la série où Gédéon est le héros.



Dans cette aventure Gédéon est présenté comme connu des animaux qu'autres pays que la France dont il est dit être originaire et où il compte retourner à la fin du récit. Cet album publié pour la première fois en 1932 constitue le dixième volume de la série. On trouve là les habituels gags visuels et l'esprit de tromperie (ou de débrouillardise genre système D) qui sont les ressorts des actions dans les histoires en images de l'époque.



Les dessins sont magnifiques et il faut rappeler que Benjamin Rabier fut surnommé l'homme qui fait rire les animaux. C'est d'ailleurs lui qui réalisa le premier dessin de la Vache qui rit, le fromage qui gagna une grande popularité en partie de ce fait. Le texte est relativement abondant mais variable d'une page à l'autre, ce qui permet une pause dans l'effort de lecture.



Un ouvrage et un auteur qui font partie intégrante du patrimoine mondial de la bande dessinée.
Lien : http://crdp.ac-amiens.fr/cdd..

Des illustrations très réalistes des animaux même si certaines expressions et positions sont beaucoup plus humaines qu'animales, tout simplement fantastique! Et qui les a faites ? Un Vendéen méconnu même de la plupart des Vendéens (et pourtant une médiathèque porte son nom :https://mediatheques.larochesuryon.fr/mediatheque-benjamin-rabier)... et si dans certaines biographies, vous lisez qu'il est né à Napoléon (https://fr.wikipedia.org/wiki/Benjamin_Rabier) et bien non vous ne rêvez pas parce que c'est l'ancien nom de la Roche sur Yon, ville bâtie à partir de rien par Napoléon... et tant par ces illustrations des fables De La Fontaine, mais aussi parce qu'un de ces personnages a inspiré le Tintin de Hergé, qui oui, était un de ces fans.... Alors redécouvrons cet illustrateur et auteur de B.D., vraiment cela en vaux la peine... L'ensemble des fables De La Fontaine ( à découvrir à partir de 6 ou 8 ans selon la maturité, mais qui peuvent être lu et relu toute une vie!

Des illustrations de bon niveau technique, en couleur en noir et blanc ou sépia sur des pages de beige, avec une page verte pour séparé chacun des volumes d'origine... si on préférera un volume à bas prix pour la découverte de ces fables ( notamment le volume chez Castor poche 4,50 euros) par contre si votre enfant ( ou un ami) est un inconditionnel De La Fontaine, ce volume, bien que les caractère soit petit, à 25 euros, lui fera probablement plaisir, avec des Fables qui critiquent la société humaine de façon si moderne en traitant tous les sujets... les12 volumes des fables en un seul!

A découvrir jeune aussi chez Castor Poche : La petite Sirène et autres contes (Andersen) le petit Chaperon rouge ( les frères Grimm) et Histoires comme ça ( Kipling).

La version de Marmaille et compagnie, avec une couverture verte avec des illustrations de Benjamin Rabier est vraiment des plus attractives, malgré la petitesse des caractères ( qui réduisent certainement les coût : prix 25 euros pour les 12 volumes en 1)



Un livre pour les 6-8 ans donc, . même si on commencera peut être par les histoires de Christophe Boncens ( courtes histoires animalières qui mettent les enfants dans des situations qu'ils vivrons tous les jours,(4/7ans) ou les aventures de Balthazar et Pépin de Marie -Hélène place qui sont plus des histoires pour faire découvrir le monde réel....

Les B.D. ne sont pas à négliger, surtout quand elles peuvent introduire le petit Nicholas : C'est le cas des B.D. Cédric et Snoopy (les Peanuts) mais hélas on ne peut pas actuellement acheter des Snoopy, il faudra les emprunter... une B.D. plus dépaysantes : Yakari le petit indien....

Autres classiques ou qui peuvent le devenir : le Petit Prince, Boule de Rêve ( qui parlent de la mort sans vraiment être clair, et cela peut aider les enfants quand ils y sont confrontés

De 7 à 10 ans on peut présenter des livres plus imaginaires (âge variant en fonction du degré de rationalisme de votre enfant) : commencer avec les histoires de la collection trimestre (hélas, on ne peut pas tous les avoir, et c'est bien dommage, car à part le Requin Baleine, dont on se demande o l'on veut en venir, j'en ai plusieurs qui sont asse bien écrit, un peu poétiques et philosophique sur la vie ), et bien sûr des livres plus long mais soit moderne ( les trois tomes de section 13, entre Fantasy et science fiction, avec des inclusions de faits historiques!) mas aussi des J.K. Rowling ( L'ickabog, Jack et le Cochon de Noël), mais aussi Tolkien ( Les lettres du Père Noël, Roverandom)

A partir de 10 ans, on peut commencer à envisager de faire lire le Hobbit ( mais on attendra le lycée pour le Seigneur des Anneaux), et Harry Potter à l'Ecole des sorcier (on ferra attention de ne pas offrir toute la série d'un coup car le dernier tome les Reliques de la Mort est beaucoup plus dur, selon la stabilité de votre enfant vous en introduirez un ou deux par an!)

Au collège, vous pouvez introduire des livres comme Quo Vadis, Croc blanc, l'Appel de la Forêt le Tour du Monde en 80 jours, Quentin Duward, le château de ma mère, la gloire de mon père Ivanhoé, Notre Dame de Paris, Les Trois mousquetaires.... des classiques, mais qui sont moins sombres que beaucoup d'autres ( La dame de Montsoreau, le Chevalier de Maison Rouge, Nana, le Père Goriot, les Grandes Familles, Pélagie la Charrette, les Rois maudits, Les Grandes Familles, la Lumière des Justes) mais qui peut être une étape qui permet d'aimer la littérature et qui décourageront beaucoup moins que des livres beaucoup plus noirs sur des orphelins qui découragent parfois...

Il existe quantité aussi d'éducatif pour informer les enfants sur le monde réel dans lequel il vivent... et qui sont maintenant très adapté aux enfants en fonction de leur tranche d'âge... On choisira en fonction des particularités de son enfant telle ou telle collection, et en fonction de ses goûts tel ou tel volume : trainez dans un librairie ou dans une médiathèque pour les idées de cadeaux!

Parfois, il est utile de se replonger dans les bandes dessinées qui ont bercé la jeunesse de bien des enfants. On voit ainsi que la mentalité en 1934 est bien lointaine de celle de nos jours. Les dessins de Benjamin Rabier sont d'une grande précision. On reconnaît assez bien tous les animaux de la ferme. Ce n'est pas un hasard si les vaches ressemblent au logo de la marque de la Vache qui rit. C'est le dessinateur qui a créé l'image de marque. La bd est à destination des enfants et pour les faire rire.



Gédéon vit dans une ferme. Mais il y a des animaux et des humains pas très gentils. N'oublions pas que les bêtes doivent servir de nourriture aux humains. Ce n'est pas un espace de vie paisible entre eux. Des évènements comme une tempête, un accident ou un meurtre permettent de se débarrasser ceux qui sont méchants. A chaque disparition, tout le monde est ravie. Une approche assez déroutante de valoriser la haine surtout que c'est l'occasion de faire la fête. Tout tourne autour de Gédéon qui trouve une copine avec laquelle il se marie. Puis il a des enfants comme tout brave couple. On reproduit une typologie de normalité adulte dans la représentation pour les enfants. Le héros ne souffre t'il pas du complexe du héros? Grâce à lui tout change et tout va bien. Et tout le monde l'aime et si ce n'est pas le cas gare à eux. Une vision idyllique du monde trop binaire, trop morale et phallocrate en ressort pour une lecture en 2024. On peut se demander si les enfants pourraient encore être émerveillé par ce genre de récit. Au moins, cela nous permet de voir comme la bande dessinée jeunesse a évolué et qu'elle est lié à la société dans laquelle elle s'inscrit.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..

Le point sur les ouvrages de B. Rabier disponibles aujourd'hui à l'état neuf chez les éditeurs à

http://vendeebd.free.fr/index.php?option=com_flexicontent&view=items&cid=93:auteurs-vendeens&id=50:benjamin-rabier&Itemid=4

J'ai noté sur la fiche de "La souris verte" du même auteur, pourquoi j'ai lu ces albums, et le plaisir que j'ai éprouvé en découvrant les livres de Benjamin Rabier réédités



Ici, nous n'avons plus affaire à un animal paré de toutes les qualités, mais à "une petite souris menteuse, prétentieuse et vantarde. A la croire, elle n'avait peur de rien."

Il va bien entendu lui arriver de drôles d'aventures. L'épisode des quatre chats est particulièrement savoureux.

Et bien entendu, la fin sera très morale, mais on s'est bien amusé avant !

Les textes choisis dans cette édition Magnard Classiques et Patrimoine ont l'intérêt d'être progressifs en terme de richesse de sens et de complexité d'écriture. En effet, de plus en plus Renart et ses acolytes sont plus humains qu'animaux, les situations présentées identifiables à des réalités du Moyen-âge et la forme des textes apparentée à des genres littéraires ici parodiés.



J'avoue n'être pas grande amatrice de ce genre de récit (personnages animaux, violence et ruses de moins en moins innocentes, esprit de vengeance et d'égoïsme etc.). Il est certain que la dénonciation passe mais personnellement je n'adhère pas, trop noir, trop grossier pour moi - et pas comique, bien que ce soit supposé l'être.

Un bel album réédité.

Charlot est un chien de chasse, mais quel phénomène!

Il aide les lapins et les escargots au lieu de les chasser, et attache ses oreilles pour ne pas être embêté quand il court...

Un joli album pour enfant qui sent bon le désuet et le vocabulaire riche et de qualité quoique suranné.

Pourquoi pas le proposer à nos enfants et les habituer à une belle langue?

Benjamin Rabier.



Un grand nom à noter, une référence en Littérature Jeunesse.



Les prescripteurs de Littérature Jeunesse entendent parler de lui comme d'un repère essentiel, un pionnier incontournable du début du XX ème siècle de cette littérature voulue plus adaptée au jeune public.



Le public le connaisse sans le savoir, c'est le créateur du logo publicitaire de notre célèbre "Vache qui rit" qui vente les saveurs fromage, Benjamin Rabier, nous crions votre nom !







Les très jeunes générations, d'un autre temps, profitèrent de son savoir-faire d'auteur-illustrateur sur les aventures à la Ferme de son canard au cou qui s'allongeait à volonté, Gédéon.



Vos parents ou les parents de vos parents le connaissent bien pour son adaptation animée portée au petit écran. Cela date bien de l'époque audiovisuelle de "Nounours".







Le style de Benjamin Rabier surfait déja de l'album à la Bande-dessinée, une narration inspiratrice et novatrice (sans phylactères, nos fameuses bulles).



Le texte se mêlait aux images, organisant l'espace de la page de telle sorte que nous avions l'impression de cases imaginaires formées et l'auteur rendait aussi ses animaux très expressifs pour entretenir le comique de situation.



C'était encore différent de l'époque où les cases se dessinèrent nettement et où le texte fut placé au dessous des cases (les lecteurs plus anciens connaissaient les aventures de la célèbre "Bécassine" sous cette forme de narration).



L'auteur-illustrateur s'est fait plaisir en son temps avec l'illustration des "Fables de la Fontaine", une bonne façon de les intégrer agréablement dans le plaisir de la lecture sans avoir à les apprendre par coeur.







Les éditeurs continuent donc de lui rendre hommage et d'amener son patrimoine jusqu'au jeunes générations d'aujourd'hui.



La tendresse et la cocasserie logée dans les personnages et les situations fonctionnent encore et le style graphique de Benjamin Rabier a encore de belles années devant lui avant de rendre le pouvoir de l'illustration traditionnelle obsolète.







Les premières pages de ce recueil animalier sont déja truculentes, nous montrant la première héroïne le ventre gonflé comme une outre, le renflement servant de pivot pour que les animaux jouent à la balançoire sur les jambes et les bras de la grenouille. Cela promet.



Joséphine la grenouille est une adorable et catastrophique insouciante, sautant sans s'inquiéter de l'endroit de la chute.



On devine déja mille et une situations drôles et embarrassantes, même pour une grenouille.



Le personnage est capable du meilleur comme du pire, c'est clairement une facétieuse, offrant de l'aide d'un côté et jouant la farce du jour de l'autre.



Les jeunes lecteurs devraient en mourir de rire.







Les aventures de ces animaux sont de vraies suites d'aventures et mésaventures sans temps morts.



De Joséphine nous passons à Trotte-Menue, une souris qui aime à étoffer ses histoires de pirouettes toujours à son avantage.



Nous profiterons d'un voile tiré par l'auteur comme un coup de rideau et la vérité devrait être désopilante pour le lecteur.







La lecture est facile, agréable et nous finissons par raffoler de tous ses animaux qui se racontent leur vie comme deux commères qui se croisent au Marché.



La Ferme et ses environs sont le théâtre des péripéties et des rencontres.



On ne semble pas s'y ennuyer une seconde avec certains sacrés numéros.



Même avec la lente tortue Perpétue, qui se révèle plus dynamique et tonique qu'elle n'y parait.



La bonté et la compassion semblent être à la fois son moteur et sa formule de jouvence.



Notre héroïne à carapace dure et au coeur tendre deviendra une superhéroïne pour les animaux et les humains dans le besoin.



On ne va pas tout vous raconter.



Cela mérite de se découvrir par soi-même, pour ne pas gâcher le plaisir.

Nostalgie quand tu nous tiens...Superbes dessins, un style inégalé. On peut voir certaines de ses planches au Musée des Arts Décoratifs, dans le cadre de l'exposition Drôles de Petites Bêtes d'Antoon Krings ( jusqu' en septembre 2019), car Benjamin Rabier compte parmi les nombreuses sources d'inspiration d' A.Krings.

Le renard mystifié : Goupil a prévu de jouer encore un bon tour. Il vole le panier de la fermière qui contient une poule. Mais en chemin, il rencontre Désirée, la chèvre, qui comprend ce qui se cache dans le panier volé et vient au secours de la poule, discrètement. Elle propose à Goupil de lui porter son panier en le plantant dans ses cornes. Le renard, pas si rusé que ça pour le coup, accepte. Arrivé au pied d’un grand talus, Désirée propose de faire une pause. Elle pose alors le panier à terre, et pendant qu’elle distrait Goupil, la petite poule coincée dans le panier sort ses pattes par les trous fait par les cornes et s’enfuit !



Un ouvrage assez récent, qui reprend de belles histoires de Rabier avec le renard en personnage principal ou secondaire (sachant que Rabier est plus connu pour son canard Gédéon et pour la vache qui rit, mais passons). Depuis quelques années, la maison Langlaude réédite les récits de Rabier, pour le plus grand bonheur des connaisseurs, des plus âgés, mais aussi des petits. Le résumé que je vous ai fait correspond à une seule des histoires de ce recueil, qui en contient en réalité sept. Une bonne façon pour les adultes de partager avec leurs enfants un grand classique de leur littérature de jeunesse.



Pour découvrir d'autres albums jeunesse où le renard est le principal protagoniste, rendez-vous sur notre site !
Lien : http://lebazarlitteraire.fr/..

J'ai noté sur la fiche de "La souris verte" du même auteur, pourquoi j'ai lu ces albums, et le plaisir que j'ai éprouvé en découvrant les livres de Benjamin Rabier réédités



Perpétue est encore un animal fort sympathique et serviable.

Cette tortue rend service à tous ceux qu'elle rencontre. Mais ce n'est pas pour autant une lecture édifiante et ennuyeuse.

On sourit beaucoup des aventures qui lui arrivent, le dessin est toujours aussi drôle, et on sort un peu de l'univers habituel, puisqu'elle va se trouver confrontée à un lion ou un singe !

Le point sur les ouvrages de B. Rabier disponibles aujourd'hui à l'état neuf chez les éditeurs à



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Le point sur les ouvrages de B. Rabier disponibles aujourd'hui à l'état neuf chez les éditeurs à



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Désuet ? Plutôt un charme qui revit, avec un beau confort de poésie.