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Critiques de Benoît Preteseille (22)
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Les poupées sanglantes

J'avoue ne rien avoir compris. Mais y a-t-il quelque chose à comprendre en ce bas monde ?

La succession d'image roses-rouges a attiré mon attention. Mais attention aux conséquences, des chemins qui se croisent, des êtres sans vie se remplissant de celles de quelques âmes aux formes imparfaites. Subjectif?

Condition : ne pas réfléchir...

D'où la lumière rouge, celle de la fin.

Du sang aussi donc de la faim. De la vie.

De la fin de vie.

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Grotoni à tout prix

Ce livre est un très bon moyen pour montrer les travers du marketing dans notre societe de consommation.

En suivant le sort du héros Grotoni, , hippopotame aux airs de Moomins, le lecteur suit les différentes périodes des modes marketing : l'engouement du public, les déclinaisons, le cynisme des marchands qui créent n'importe quoi juste pour donner envie de posséder un morceau de l'aura de leur personnage préféré. Puis la lassitude jusqu'à la désaffection et enfin le remplacement par un autre héros.

La fin est subtile et efficace puisqu'elle ne conserve que les ingrédients qui font du héros Grotoni un chouette héros mais tout en démontrant l'inutilité et la futilité de posséder les multitudes d'objets autour.
Lien : http://www.liresousletilleul..
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Les têtes minuscules

Une bande dessinée qui prend ses sources dans le chamanisme amazonien et les rituels ancestraux des têtes réduites. La petite héroïne, prénommée Chayeness, représente le public parfaitement préparé à adhérer à ces fantaisies : une gamine rêveuse absolument pas concernée par son quotidien, qui vit dans son propre monde intérieur intrinsèquement lié à la narure. Ainsi, quand sa tante excentrique Brigida lui offre une tête réduite au retour d’un stage de chamanisme, Chayennes est enchantée alors que sa famille est profondément dégoûtée ; ce qui – entre nous - se comprend !

« Ma sœur Zidra adore les nouveaux bidules techniques, moi je trouve que ça marche jamais très bien... Si on a des bonnes recettes qu'on se transmet de mères en filles depuis des siècles, c'est pas pour rien ! »

Chayennes parvient à remonter à l’origine de son cadeau et découvre un drôle de duo de sœurs mi- sorcières, mi- scientifiques. La gamine, elle, n’a pas froid aux yeux.

Au final, une bande dessinée intéressante car plutôt innovante du point de vue de l’idée de départ, la légende des « têtes réduites » ; susceptible de déclencher un élan de curiosité chez les jeunes adolescents. Par contre, l’histoire souffre de trop grands raccourcis à la limite de l’incohérence. J’ai eu l’impression de pouvoir trouver une « têtes réduites » dès la prochaine brocante du village… A réserver aux plus jeunes qui ne se posent pas trop de questions…



Merci à Babelio pour la Masse critique et à l'éditeur pour l'envoi du livre.

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Les têtes minuscules

Merci à Babelio et l'éditeur Biscoto pour cet envoi.



Une très chouette histoire que ma fille a bien aimé.



Du frisson, un peu d'épouvante, une petite fille débrouillarde et une sombre affaire à résoudre ^^



Le style graphique est simple et efficace. L'hommage au pulp horrifique de la couverture est un clin d'œil très amusant pour les plus grands.



Bref, une chouette histoire à partager avec vos enfants pour frissonner "en douceur".
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L'écume d'écume des jours : D'après Boris Vian

Déconcertant. Peu habituée au surréalisme, j’avais eu du mal à m’habituer au roman avant de me plonger avec délice dans sa poésie. Je n’ai pas retrouvé toute cette poésie dans cet ouvrage.

« Le livre que vous tenez là est la trace de ce moment et de cette plongée », précise l’auteur sur la couverture. C’est bien l’impression que cela donne. Tout comme on peut prendre des notes en lisant un livre, Benoit Preteseille a esquissé des sensations de lecture de livre, ce qui explique le titre, l’écume de L’Ecume des jours, ce qui reste à la surface après dégustation.

C’est un ouvrage monochrome sépia, parfois fléché pour relier les illustrations. Il reprend une partie des scènes du livre, les grands thèmes du roman, en une succession de dessins juxtaposés. On ne peut pas parler de case car ce n’est pas une BD comme les autres. Disons qu’il s’agit d’un livre graphique. Mais il doit être bien difficile d’illustrer un roman comme celui de Vian ! La couverture est magnifique, c’est elle qui m’a donné envie de choisir ce livre, mais je n’ai pas retrouvé sous ces traits les visions que je m’étais faites à la lecture du roman.

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Les têtes minuscules

[SERVICE PRESSE]





Les têtes minuscules de Benoît Preteseille





Je remercie Babelio et les éditions Biscoto pour ce service presse.





Mon résumé :



Chayeness a reçu un étrange cadeau de la part de sa marraine : une tête réduite. La nuit venue, celle-ci lui demande de l’aide et qu’elle n’est pas sa surprise de voir qu’il s’agit de Gigi, sa copine. Ni une, ni deux, Chayeness s’inscrit au même stage de yoga que sa marraine afin de tirer cette histoire au clair.





Mon ressenti final :



Une petite bd jeunesse bien sympathique.



Ce n’est plus un secret, j’aime beaucoup les livres jeunesse et je dois dire que cela fait un sacré moment que je n’avais pas lu une bd ! Et j’ai passé un très bon moment.



Chayeness est une gamine rêveuse et habite avec ses parents. Sa marraine est un peu fofolle et, de retour d’un stage de communication avec les anges gardiens, lui offre une tête réduite. J’ai aimé cette originalité, ce détail qui pourrait passer comme étant un peu glauque mais qui passe parfaitement bien grâce à des illustrations colorées et à des dialogues humoristiques et désinhibés. Le déroulé de l’histoire est vraiment sympa, un peu ‘’fantastique’’, un peu irréel mais tout à fait agréable à découvrir.



Le langage est adapté, léger et humoristique. Le jeune lecteur ne pourra que se plonger dans cette aventure trépidante. La notion d’entraide et d’amitié y est explicitement exprimée et saura toucher les petits comme les grands.



Pour mener l’enquête avec Chayeness, c’est ici : https://amzn.to/3Es31Bp
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Les têtes minuscules

Il y a plein de petites idées très chouettes dans cette BD au format atypique (genre A5, mais je n'y connais trop rien dans les formats).



Chayeness va partir en vacances. C'est la fin des cours. Elle part avec son père, mais elle va se retrouver nez à nez avec la tête de sa meilleure amie, réduite façon Jivaros... sauf que cette tête parle... le reste appartient à l'histoire...



On navigue entre BD pour jeunes ados, thriller fantastique, horreur soft, humour décalé (j'aime bien la satire des stages "nature" avec des gourous plus vrais que vrais)... Mais on est un peu comme face à une vinaigrette dont les éléments ne se mélangent pas... On a beau secouer et secouer encore, une fois qu'on cesse d'agiter le bocal, les éléments se séparent.



J'ai beau réfléchir, je ne sais pas ce qui n'a pas fonctionné. Mais je me dis en regardant cette BD que cela aurait pu faire une chouette BD. Plus de chair de poule. Plus d'incertitude. Plus de tension. Ce n'est pas le pari pris par l'auteur et je le déplore un peu. Les personnages sont assez peu fouillés. Et le dessin est un peu simple. Mais c'est dans le fond du récit que se trouve le souci.



Néanmoins, je remercie, comme il se doit, Masse Critique et les éditions Biscoto.
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Les têtes minuscules

Ah la couverture et la 4ème de couv nous promettent des frissons, des gla-gla vintages avec des lettres qui tressaillent, un cri muet et des énigmatiques représentations, des têtes réduites, des personnages enfermés dans des bocaux, un monstre poilu à lunettes, une bûche qui s'fait la malle, ah l'enrobage nous promet des frissons...

Et ça démarre bien, on se marre page 9 en pensant "beurk, dégoutant" mais après on s'enlise, on se noie, on s'embrouille, on se perd, bref on décroche.

Dommage, le potentiel était là pour nous permettre de s'envoler, nous le gentil lecteur. Mais au fait, quel lecteur ? quel âge ? quel profil ? Difficile à savoir.

Merci aux éditions Biscoto et Masse Critique pour l'envoi de ce bel ouvrage,

aux dimensions agréables et au graphisme soigné et percutant.
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Je m'appelle Erik Satie comme tout le monde

Quand on pense à Satie, on pense Gnossiennes et Gymnopédies, on pense au parapluie noir, au costume de notaire, au canon qu'il tire avec Picabia dans Entr'acte de René Clair. Et la musique de Satie n'est jamais ennuyeuse, elle est au contraire pleine de surprises, de parodies, de citations, d'explosions. Tout en se permettant au passage, d'inventer la musique répétitive et le concept de Musique d'ameublement...



« Je m'appelle Erik Satie comme tout le monde » est une bande dessinée qui réunit les contributions d'auteurs issus de la BD alternative, tels Bé, Réjean Dumouchel, le Lièvre de Mars, Benoît Preteseille, Ivan Brunetti, Hélène Coudray, Sébastien Liénard-Boisjoli et Mandragore. Ils réalisent une biographie dessinée de Satie permettant de pénétrer dans l'univers foisonnant et Loufoque du compositeur né en 1866 qui va croiser Flaubert, Debussy, Suzanne Valadon, Ravel ou encore Cocteau.



C'est donc passionnant mais j'ai deux critiques à faire : d'une part la BD n'est pas très accessible aux néophytes et d'autre part, la ville d'Arcueil n'est pas suffisamment évoquée notamment parce que Satie accompagnait les cours de danse des petits du Patronage laïque et qu'il y a passé la fin de sa vie.

Ceci-dit, j'admets qu'il est touchant de faire le portrait d'Erik Satie et qu'il est délicat aussi de faire le tour de sa personnalité.



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L'écume d'écume des jours : D'après Boris Vian



L'écume des jours est mon premier souvenir de lecture « adulte », j'avais onze ans. Ce livre m'a chamboulée, tourneboulée, toutcequevousvoulezenée.



L'an dernier, j'ai vu l'adaptation cinématographique avec Audrey Tautou, que j'adore, et je me suis endormie, j'ai détesté.



Alors c'est dire si j'étais curieuse de découvrir cette « plongée » dans L'écume des jours d'un dessinateur que j'avoue ne point connaître.



Autant vous le dire tout de suite, si vous n'avez pas lu L'écume des jours, passez votre chemin, vous n'y comprendrez que dalle de chez que dalle.



Si vous aimez le roman de Vian, en lisant L'écume d'écume des jours, vous retrouverez un peu de ce qui fait le charme et l'absurdité du livre, ce qui fait qu'on l'aime d'amour. Je regrette cependant le côté monochrome des dessins (d'un orange brunasse en plus, même pas d'un joli rose ou d'un violet, quoi, couleurs que j'associe plus au roman, va savoir pourquoi, de même que le bleu), coloris unique que ne laisse pas supposer la jolie couverture colorée, et c'est ma grande déception.



Ça m'a dérangée durant la lecture, cette couleur, enfin durant la vision, car il n'y a quasi rien à lire, juste à s'imprégner de l'ambiance de ces grands dessins parfois un peu noueux, tortueux, comme l'histoire de Colin et Chloé.



En conclusion, un joli hommage à Boris Vian et son oeuvre nénupharesque, qui ne m'a pas convaincue à 100 %, mais qui, sur certaines pages, m'a rappelé les émotions ressenties durant la lecture, notamment par la présence des petites souris, et je pense que tel était le but de cet ouvrage.
Lien : http://www.le-celibat-ne-pas..
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L'écume d'écume des jours : D'après Boris Vian

Ce roman de Boris Vian a marqué mon adolescence, j’attendais donc avec impatience de lire cette version « roman graphique ». On y retrouve en effet l’essence même du livre : un univers singulier et irréel, des personnages fantasques magnifiquement représentés. Les traits sont simples, les couleurs douces, et le tout contraste avec le tragique de l’histoire de manière impressionnante. La vision de Benoît Preteseille était forcément différente de la mienne, mais il partage avec le lecteur une « écume », des instants particuliers, qui poussent à imaginer la totalité de l’histoire sous ses traits. Pas de case, pas de bordure, les personnages et les décors sont libres. Cette écume proposée par l’artiste s’apparente à des notes, à des extraits choisis qui rendent hommage au roman. Je ne le recommanderais en revanche qu’à ceux qui ont lu et apprécié le roman. Et qui sont prêts à en découvrir une vision différente de la leur.
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Histoire de l'art macaque

Une farce grinçante et décalée qui revisite toute l’Histoire de l’Art, de l’ère préhistorique à la modernité abstraite, sous un angle à la fois naïf et cynique, pour un résultat furieusement drôle.
Lien : http://www.bodoi.info/histoi..
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L'écume d'écume des jours : D'après Boris Vian

Deuxième édition du livre... j'avais préféré dans la première la couleur d'impression de l'intérieure violette, mais la couverture de cette édition là est plus belle.

Pour la petite histoire, Benoit avait envoyé les pages à la veuve de Boris Vian qui vivait encore à cette époque et à la Société des Amis de BV. Tous ont donné leur bénédiction pour la publication de ce livre que de nombreux éditeurs souhaitaient faire. Tous se sont cassés les dents sur l'exercice de style consistant à enfermer Vian dans des cases et des bulles.



Preteseille, lui, a choisit de libérer le texte et de s'en libérer parfois, d'où le titre "écume d'éccume des jours". Une adaptation à la fois libre et fidèle, en somme.
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Grotoni à tout prix

" Grotoni à tout prix" est un album aussi amusant qu'instructif pour le jeune public: vie, mort et parfois renaissance d'un album pour enfants.



Il faudra s'attendre à un parti pris pour la revendication avec l'intéressante maison d'édition " La ville brûle".

L'auteur-illustrateur Benoît Preteseille offrira plusieurs lectures de notre société de créations mais aussi de consommation.

Il parlera de succès jetables et l'exemple pourra s'étendre facilement, largement, à d'autres domaines de création, tellement cela nous semblera familier.



Qui aime Grotoni?

Ça sera l'aventure et l'épreuve de "l'ascenseur émotionnel d'une auteure pour enfants qui imaginera Grotoni le Magnifique. Elle sera fortement mise à contribution, comme beaucoup d'auteur(e)s, pour le faire connaitre ou bien reccueillir les avis de leurs lecteurs.

Parents? Enfants? Pouce levé ou baissé?



Les lecteurs comprendront sans doute plus clairement que les auteurs ne se tourneront pas les pouces en attendant que le bénéfice tombe comme un cagnote, il y aura une autre casquette avec celui d'artiste, celui de médiateur: communiquer sur son livre et donner envie de le lire (après l'avoir accouché des mois durant).

En arrivant au bout de cette aventure, peut-être que les jeunes lecteurs regarderont les livres qu'ils auront entre les mains d'une autre façon, avec peut-être un peu plus de respect pour le travail réalisé.

On aimera ou on aimera pas, cela fera parti du jeu des goûts mais derrière chaque livre, il y aura du temps consacré, un petit coeur qui bat.



Ça ne sera pas simple de trouver des histoires à Grotoni le magnifique, de les faire lire et de les faire aimer, mais Grotoni va connaitre le succès éditorial.

Avec Grotoni, ça sera aussi une seconde vie avec des propositions d'adaptation des aventures en animé et sur grand écran, des déclinaisons du personnage en "produit" marketing.

Les fans voudront voir Grotoni partout parce qu'ils l'aiment beaucoup et puis un jour, tout cela va s'inverser: Grotoni, on l'aura trop vu et un autre héros prendra sa place.



Le propos de l'auteur Benoit Preteseille dépassera la dimension de l'édition, on nous glissera des allusions à la mécanique abusive du merchandising et c'est la bascule.

Nous ne verrons pas l'aventure sous l'angle avantageux qui fournit du travail, sur place en tous cas: produire en grande quantité le produit et loin, là où la participation sera bien moins onéreuse, rogner sur la qualité aussi des matières premières.

C'est pessimiste.

Peut-être que les jeunes lecteurs poseront la question: pourquoi fabriquer aussi loin, avec ses avions et ses véhicules à l'image qui crachent autant de fumées que les usines?

On ne nous en parlera pas sous cet angle mais il peut être possible d'aborder l'album sur le sujet de l'écologie: la qualité des jouets et produits dérivés Grotoni prévoient-ils de préserver la planète? (Comment ça on va les jeter un jour? Et bien oui, le temps il viendra peut être un temps si ils sont usés d'avoir été tellement aimé et si ils ne sont pas donnés avant).



L'album offrira une critique piquante avec l'aventure du produit pour enfants à succès, avec des industries qui prendront les parents des enfants captifs de spots publicitaires ( les vrais cibles) pour des "vaches à lait".

Que restera t-il de tout ça?

De l'intention de l'auteur?



Vous le verrez à la fin du livre, on redonnera la parole à la vérité d'un livre pour enfants, non pas au consommateur mais à celui qui a aimé d'un amour sincère l'oeuvre de Grotoni( par exemple).
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Les têtes minuscules

Résumé de l’histoire :

Chayeness est tête en l’air, tellement qu’elle n’entend jamais les gens lui parler jusqu’au bout. Alors qu’elle retourne chez elle et prépare à vivre ses vacances, sa marraine vient lui rendre visite et lui offre une tête réduite. Elle adore sa tête mais elle va très vite se rendre compte que ce n’est pas n’importe quelle tête et devinez quoi, ELL PARLE !



Mon avis :

Avant tout, merci à Babelio et aux éditions Biscoto pour l’envoi et la découverte de petite bande dessinée bien marrante.



C’était une belle découverte, marrante et surprenante. Chayeness vit avec ses parents et reçoit la visite de sa marraine qui d’ailleurs est très spéciale et bien fofolle ! Les personnages sont originaux et je dois dire que je n’ai personnellement jamais vu une histoire comme celle-ci. C’était pour moi une totale découverte.



Le déroulement est étrange mais surprenant. En tout cas, j’ai bien rigolé en voyant les petits personnages et les deux drôles de dames se disputer pour savoir laquelle est la meilleure.



Je ne m’attendais pas à ça et c’est un gros point positif !



Si vous voulez une petite bd dans le style humoristique je vous la recommande vraiment !
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L'Art et le sang

Corrosif, brutal, absurde ... un livre plein d'humour et d'humeurs qui s'attaque sans complaisance au petit milieu de l'art contemporain pour pointer à la tronçonneuse les imposteurs de tout bords : critiques d'art, artistes, public musées etc. Comme toujours les édition Cornélius donne la parole et le trait à des artistes originaux dont la poésie et la force font mouche.
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L'écume d'écume des jours : D'après Boris Vian

L'Écume des Jours, un roman surréaliste de Boris Vian, narre l'histoire d'amour entre Colin et Chloé, éclipsée par la maladie de cette dernière. Dans un monde absurde et poétique, Vian explore le thème de la fragilité de la vie. L'écriture inventive et les situations loufoques peuvent dérouter ceux peu familiers avec le surréalisme. Pour certains, cet aspect peut être déconcertant plutôt que stimulant. Je pense que j'ai lu ce livre dans un contexte particulier de contrainte scolaire. C'est ce qui explique que c'est un des rares livres que je n'ai pas aimé, et pourtant, que j'ai malgré tout, lu.
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Editer des bandes dessinées pour adultes: Eri..

Benoît Preteseille [...], propose ici un travail de fonds, qui a nécessité de nombreuses recherches : surtout sur les conditions matérielles, artistiques, sociales et symboliques, qui ont permis l’existence de cette collection fondatrice pour la bande dessinée pour adultes en France.
Lien : https://www.bdzoom.com/19303..
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Duchamp Marcel, quincaillerie

Une promenade intelligente dans l’œuvre du plasticien.
Lien : http://www.actuabd.com/Ducha..
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L'Art et le sang

On avait édité la première partie de ce livre chez WARUM, mais Benoît l'a étoffé et proposé à Cornelius qui a accepté de l'édité... et l'a fait bien mieux que nous !



On découvre l'univers fascinant de l'auteur, qui mélange les références artistiques à la littératude d'aventure policière du début du XX° siècle.



Inéressant, choquant, provocateur.
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