Pourtant défendre à tous crins la réduction des dépenses publiques et donc réduire le nombre de fonctionnaires et les budgets des administrations, c'est se résoudre à avoir moins de services sur l'ensemble du territoire : moins d'écoles, mois d'hôpitaux, moins de structures d'accueil pour la petite enfance ou pour les personnes âgées, mais aussi moins d'infrastructures, moins de contrôles sanitaires... Et tous ces "moins" se transforment très vite en une baisse de qualité des services rendus.