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Critiques de Bernard Boucheix (11)
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La Belle Epoque : Les trois belles gloires ..

Merci à Babelio de m’avoir envoyé ce livre lors d’une opération Masse Critique.

J’aime beaucoup l’histoire de notre société, l’histoire du luxe, des vacances, … C’est pourquoi j’ai choisi ce livre. Il raconte en effet les vies de trois femmes, trois « belles » : la Belle Otero, la Belle Meunière, et la Belle Angèle. Le prologue précise d’où vient l’appellation de Belle, et ensuite, un chapitre est dédié à chacune d’entre elles.

Mais je dois avouer que je suis un peu déçue. Commençons par les points négatifs : d’emblée, le lecteur se retrouve face à un « je », « je » assez intrusif, qui s’impose, qui commente, qui donne des anecdotes assez personnelles (même si pertinentes). Or qui est ce « je » ? A part le fait qu’il vient d’Auvergne, nous n’en savons pas grand-chose. Et c’est dérangeant : pourquoi l’auteur ne se présente-t-il pas, ne donne-t-il pas les raisons personnelles qui l’ont conduit à cet ouvrage ? Autre légère critique : le style est parfois un peu maladroit, voire grandiloquent.

Une relecture des images aurait aussi pu éviter p42, les problèmes de légende des cartes postales et des photos… Dommage, c’était intéressant !

Ce qui m’a le plus déçue enfin, c’est le déséquilibre des parties… Certes, chacune fait 14 pages. Mais quand on compte les pages de texte, on s’aperçoit que la Belle Meunière en a 4, la Belle Angèle 3,5, et la Belle Otero… 2 seulement ! D’où l’impression de rester sur sa faim quand on finit sa partie. Pourquoi l’avoir autant négligée ? Les photos pour la Belle Otero donne donc l’impression d’être du remplissage. Dommage d’avoir ce sentiment !



Passons au positif : l’analyse du tableau de Gauguin, représentant la Belle Angèle est très bien faite, et m’a permis d’examiner ce tableau – que j’aurais survolé sinon – de plus près. C’est très enrichissant, merci !



Je recommande donc cet ouvrage, surtout pour ses reproductions, mais n’hésitez pas à en consulter d’autres pour avoir des informations (beaucoup) plus complètes sur ces belles dames !
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Les Mères auvergnates

Loin du parisianisme qui sévissait encore au temps des Romantiques , ces trois femmes « aux fourneaux », dites "Les mères auvergnates", ont su drainer près de leur marmite une belle clientèle d'artistes et d'intellectuels du XIXème siècle. Qui aurait cru que la verte vallée de Royat pouvait attirer des peintres, des poètes, des écrivains … le secret repose dans le savoir-faire gastronomique de ces trois femmes d'exception, mais aussi dans la beauté et la sérénité des paysages, et dans l'essor du thermalisme auvergnat.

Bien sûr, les talents d'une « mère » sont avant tout culinaires, mais le goût de l'art, et plus généralement, des belles choses, peut agrémenter des plaisirs plus épicuriens.

On savoure le destin de ces trois femmes, qu'une unité géographique et culinaire réunit. Bien que fort différentes, elles ont réussi à imprimer de leur talent bien plus qu'une région.

Toutes trois emblématiques de l'Auvergne profonde, ces "mères auvergnates" ont su exporter leur aura, tout particulièrement "La belle Meunière", alias Mère Quinton, dont la renommée franchira les frontières.

Et pourquoi ne pas oser faire le lien avec la tradition des cafés littéraires, parisiens, vénitiens ... modestement bien sûr ; le Procope, le Florian, tant d'autres : promouvoir la gastronomie et les beautés d'un lieu... et le talent de l'artiste qui aima le fréquenter.

Merci aux Editions Créer et à Babelio de m'avoir permis de découvrir cet ouvrage, court certes, mais agréable à lire, et fort bien illustré de gravures et de photos délicieusement surannées.

Voici un beau livre à offrir, ou simplement à feuilleter.

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Belle Meunière - la Mère Quinton  - les Amours ..

Découvrir la vie d’un personnage historique est un acte qui peut être intimidant surtout lorsque son action se répand dans tout le pays comme c’est le cas pour notre protagoniste, le Général Boulanger. Lorsque le politique se mêle indissociablement à une histoire d’amour la notion de rêve ne peut que dominer. Aussi, cette œuvre épistolaire est un appel permanent au voyage et à l’imaginaire ou comment la tenancière d’un hôtel de province se retrouva l’âme d’un pan de notre histoire nationale. Entremêler à cette histoire le charisme, presque palpable celle de l’homme d’honneur presque chevaleresque, du héros, du militaire le Général Georges Boulanger.



Néanmoins, le style épistolaire atténue ce sentiment et place le lecteur à égalité avec les protagonistes en accédant à leur correspondance et à leurs photographies, ce qui constitue leur vie intime à part entière. On découvre un échange entre le couple formé par le général Boulanger et la vicomtesse de Bonnemains d’une part et la Bonne Meunière d’autre part ; échange amical, et simplement humain. En effet, militaire de carrière et homme politique réputé, il abandonna ce qui rythmait son quotidien pour rejoindre celle avec qui il voulait le vivre. Blaise Pascal philosophe et mathématicien Auvergnat a dit « Le cœur a ses raisons que la raison ne connait point ». De cette citation transpire implicitement un mot, celui de déraison.



La Belle Meunière est parvenu grâce à son journal intime à modifier le regard que le public porte sur cette histoire et ses personnages. Ce qui donne à cette œuvre une dimension à part, c’est aussi sa simplicité ou comment deux amoureux se retrouvèrent dans un établissement thermal de Royat. Cet hôtel fut le théâtre de leur seconde vie, il leur permit de s’évader du carcan de celle, médiatique et du faste de la vie parisienne de l’époque. À la façon de Baudelaire ce lieu n’était pour eux que « luxe, calme et volupté ».



Par ailleurs, le fait d’avoir accès à des archives, qu’elle que soit leur nature, apporte des informations : c’est un marqueur de temps qui évalue l’évolution des technologies,…et qui met un visage sur un nom pour les deux photographies offertes à la Bonne Meunière à l’occasion de deux de ses voyages.
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Les Mères auvergnates

Tout d’abord, je tenais à remercier les éditions Créer et Babelio de m’avoir permis de découvrir un ouvrage que je n’aurai probablement acheté en librairie (et c’est tout l’intérêt de Masse Critique) et un éditeur jusque-là inconnu pour moi.

En réalité, le titre m’a trompé lorsque j’ai sélectionné cet ouvrage dans Masse Critique puisque je m’attendais à un ouvrage autour de la gastronomie. Et bien pas du tout, s’il y est question d’art, il ne s’agit pas d’art culinaire.

En effet, après avoir présenté succinctement les trois « Mères » auvergnates qui donnent leur nom au livre, Bernard Boucheix s’étend sur les représentations picturales de la vallée de Royat au XIXème siècle. Ville thermale, située au pied du Puy-de-Dôme, Royat a visiblement accueilli un grand nombre d’artistes séduits par une vallée « romantique » recouverte de forêts inspiratrices.

On le comprend rapidement, Bernard Boucheix veut nous prouver, peut-être de manière un peu exagérée, qu’à l’instar de Barbizon ou Pont-Aven, Royat a eu, elle aussi, son « école » de peinture. L’exercice se révèle parfois un peu répétitif même si on y croise le général Boulanger, sa maîtresse et Jean-Baptiste Corot. Mais où sont passées nos trois « Mères » auvergnates ? Elles servent juste de prétexte à la visite artistique de cette vallée.

Cet ouvrage est donc l’œuvre d’un passionné d’histoire locale, d’un amoureux de la région de Royat qui y livre le fruit de recherches probablement pointues. L’énorme attrait de ce livre reste les innombrables illustrations, reproductions de croquis, tableaux et cartes postales : elles font richement revivre, et une époque, et une région.

C’est bien là tout ce qu’on lui demande, à ce livre bien mal nommé.

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Les

Ode à la gastronomie auvergnate et lyonnaise...



Mon avis est un peu aigre-doux.



Côté doux, ce fut un plaisir de se plonger dans la Belle Epoque et les Années Folles avec ces 3 femmes qui m'ont rappelé mon arrière grand-mère, penchée sur ses casseroles mijotant des heures sur la cuisinière à fioul.

J'ai aussi beaucoup apprécié d'apprendre des détails et anecdotes sur le monde de la gastronomie, des bougnats et de l'Exposition Universelle.



Côté aigre, c'est un peu fouillis ; le récit manque d'un fil conducteur un peu plus droit. On se perd dans les digressions, les changements d'époques, les anecdotes concernant soit une des Mères, soit la gastronomie autrefois, soit la gastronomie actuelle. Certains faits sont traités pour des néophytes, alors que d'autres sont peu compréhensibles pour le commun des gastronomes/historiens. Je ne suis pas certaine que tout le monde sache ce qu'est un tablier de sapeur...

L'introduction m'a déplu avec ses revendications anti-malbouffe trop appuyées. Certes, elles sont justifiées, mais peut-être pas dans ce livre, ou dites avec plus de rondeur pour éviter que le lecteur n'en retire l'impression de se faire vertement rappeler à l'ordre.

Les 3 portraits des Mères ne sont quant à eux pas traités de la même manière. On a la sensation de bien connaître la Mère Bizolon, un peu moins la mère Quinton et encore moins la Mère Fillioux, mais par contre c'est sa cuisine qui est la plus détaillée.

J'aurais bien aimé un récit qui ressemble un peu plus à un conte.



Bref, même si je suis restée sur ma faim, j'ai bien aimé découvrir ce monde.



Je sais, ma critique est assez salée, mais j'avoue avoir été à bonne école (hôtelière), fréquenter très régulièrement l'Auvergne (moins Lyon), et quand je ne suis pas le nez dans un bouquin, je suis dans ma cuisine au-dessus d'une casserole.



Alors, faut-il le lire ? Oui. Mais prévoyez une connexion internet à proximité pour rechercher les éléments pour lesquels il vous manquerait des informations. Quant à moi ce week-end, je vais tester la recette du poulet au vinaigre à la Lyonnaise...



Et merci à Masse Critique/Babelio et à l'éditeur de m'avoir fait découvrir cet ouvrage que selon toute probabilité je n'aurais pas acheté, car je ne lis que très rarement des documentaires historiques.









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Les

Bof un ouvrage qui retrace les grandes figures féminines et historique de la gastronomie locale mais qui ne donne pas particulièrement l'eau à la bouche.. la maquette est particulièrement peu engageante, et les illustrations non plus.. Le livre est assez documenté mais souffre vraiment d'une pagination austère et d'un manque de moyens évident.. on passe..



merci à Babelio et à l'éditeur- masse critique
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Les Mères auvergnates

J'ai reçu dans le cadre de Masse Critique, pensant trouver quelques recettes. Mais que nenni ! à la place, on suit l'histoire de trois "Mères", cuisinières, et tenant des auberges où les peintres romantiques de l'époque y restaient des mois, à peindre et s'imprégner de l'Auvergne. "La France, c'est l'Auvergne avec un peu de terre autour"



On y découvre également la vallée de Royat, son histoire, son développement. Les textes, bien écrits, sont ponctués d'images, tableaux et gravures, juste de quoi rythmer la lecture.

L'Auvergne inspira également des airs de musique, toujours dans la période Romantique, où les artistes, par le bouche-à-oreille, défilait en ce petit village.



"Et pourtant ! Une période, un site, un paysage, des maîtres, des élèves, et surtout des auberges ... tout était réuni pour que le souffle de l'esprit romantique et du plein air fassent école en ces lieux". Les récits de vie de l'époque sont entrecoupés par des témoignages, poèmes, illustrations et autres mots de voyageurs, la plupart artistes, certains de renom, déclamant, chacun avec son art, la beauté du lieu et des paysages.



Jusqu'à l'apparition des trains, puis des bains, avec le thermalisme naissant, les changements s’opérèrent bien vite. Ainsi les touristes affluent, les estampes disparaissent, laissant la place aux photographies. Ainsi prend fin l'ère des Romantiques, laissant la place aux Impressionnistes. Ainsi prend fin l'âge du petit village de Royat dans sa vallée, laissant la place à Royat-les-Bains.



"Puisque me voici oisive, je reste longtemps à rêver sur ma terrasse, je regarde ma chère vallée de Royat, et je m'en remplis les yeux - La Mère Quinton"
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La Belle Epoque : Les trois belles gloires ..

Je tenais à remercier Babelio de m'avoir envoyé ce livre dans le cadre d'une opération Masse Critique.

J'ai été éblouie par ce document très fourni en anecdotes et en photos. Les portraits des trois Belles sont délicieux et l'auteur arrive très bien à nous replonger à cette époque.

Je vous le recommande chaudement !
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Les

De « La Belle Époque » aux « Années Folles », nous vous présentons les trois plus grandes figures de la gastronomie traditionnelle de notre grande région. Elles ont marqué de leur empreinte, par leur personnalité hors du commun, le monde de la restauration. Leur célébrité a largement dépassé les frontières de leur territoire. La première, « La Mère Quinton », l’Auvergnate la plus connue au monde, fut cette belle meunière de notoriété internationale. Soeur douairière gardienne de cette fabuleuse histoire d’amour entre le Général Boulanger, « L’Empereur des amoureux » et La Vicomtesse de Bonnemains, « La Dame aux oeillets rouges », elle devint un mythe vivant. La seconde, également d’origine auvergnate fut, de par son incroyable renommée au cours de « La Belle Époque », la première « Mère » lyonnaise la plus connue de France : « La Mère Fillioux ». Enfin, la dernière, décorée de la Légion d’Honneur, icône nationale pendant « Les Années Folles » pour son dévouement auprès des soldats, n’est autre que : « La Mère Bizolon ». Trois Femmes et trois histoires à la fois si différentes et si communes. Trois destinées qui marquent à tout jamais la gastronomie française.
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La Belle Epoque : Les trois belles gloires ..

J'attendais beaucoup de cette lecture.



C'est une époque que j'aime beaucoup, et j'espérais donc apprendre beaucoup de choses sur les belles glorieuses dont j'avais déjà entendu parler.



Mais aie aie aie, quelle déception a été la mienne!!



Le super plus, c'est le nombre de photos d'époque. Très fourni en illustration, ce mince livre permet de pouvoir poser son regard sur les décors d'antan.



Pour ce qui est du texte, c'est beaucoup moins drôle. J'y ai trouvé beaucoup trop de répétitions, et trop peu d'informations pertinentes pour que cela puisse m'instruire comme je l'aurais voulu.



En gros ce livre (qui ne fait que 65 pages et est donc très rapidement lu), ma laisse sur ma faim....
Lien : http://au-fil-des-pages.ekla..
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Les

La Mère Quinton, la Mère Fillioux et la Mère Bizolon, trois figures emblématiques de la gastronomie française de la Belle Epoque et des Années Folles. La première est auvergnate, les deux autres sont lyonnaises. Restaurant gastronomique et bouchon lyonnais, clientèle de luxe, bourgeoise ou ouvrière, ces trois grandes cuisinières incarnent différents mouvements gastronomiques. Bernard Boucheix a choisi de les regrouper dans une même biographie sous prétexte de la réunion récente des régions Auvergne et Rhône-Alpes au sein d’une même grande région.

Je suis tellement désolée, lorsque je referme un livre, déçue… Le prologue, culpabilisant et moralisateur sur la malbouffe d’aujourd’hui, m’a mise mal à l’aise. Il utilise l’évolution des mœurs pour justifier une biographie sur la gastronomie. Pourquoi pas. Mais poussons dans ce cas le raisonnement de l’auteur jusqu’au bout : si aujourd’hui on mange mal et vite, des trois modèles culinaires présentés dans cet ouvrage, seuls le premier et le deuxième peuvent être considérés comme des exemples à suivre. Et encore !

Bernard Boucheix tente des parallèles entre les trois restauratrices. Il parle d’une « même histoire commune ». Je ne suis pas convaincue par son raisonnement. Elles sont toutes les trois de racine paysanne et ont parlé un patois local avant de parler français ; c’est peu, pour justifier d’une histoire commune. D’ailleurs, les pages dédiées à l’une ou l’autre des trois « Mères » ne sont pas construites sur le même plan. Le plan des chapitres consacrés aux deux premières est en plus confus et peu convaincant. De la « Mère Quinton », l’auteur évoque les mondanités (le couple d’amants qu’elle a couverts et le Cabaret Belle Meunière à l’Exposition Universelle 1900) et ouvre le débat l’émigration auvergnate au fil des siècles ; quel rapport ? La « Mère Fillioux » est davantage évoquée derrière ses fourneaux ; le lecteur a même le droit à une recette de poularde pochée. Elle sert de prétexte à une réflexion sur l’identité gastronomique de l’Auvergne et de Lyon, sur la naissance des Chocolats Voisin et la consommation des crêpes et beignets ; je ne vois pas de lien avec la cuisinière. La « Mère Bizolon » est la seule « Mère » de cet ouvrage dont le chapitre dédié est entièrement consacré à sa vie et aux bouchons lyonnais qu’elle a si bien incarnés. Ce chapitre décrit de manière intéressante les différences culturelles entre les bouchons fréquentés par des ouvriers et la haute gastronomie raffinée et luxueuse. C’est le seul chapitre de cet ouvrage qui m’a vraiment intéressée.

Hormis des précisions sur la vie de la « Mère Bizolon » qui, des trois, est probablement la femme d’exception la plus admirable, je n’ai rien appris. La biographie est décousue, mal écrite. Des propos convenus hors contexte (sur le jazz, le surréalisme, le music-hall et j’en passe). Des digressions personnelles tout à fait inutiles. Des répétitions d’idées entre le prologue, le contenu et l’épilogue, qui fatiguent la lecture. La tentative d’unité régionale Auvergne-Rhône-Alpes à travers cet ouvrage n’a aucun intérêt. Heureusement, de nombreuses illustrations d’époque agrémentent le récit et le rendent plus vivant, surtout celles sur lesquelles figure la « Mère Bizolon », moins statiques que les poses des autres « Mères » ou les cartes postales paysagères.

Je regrette de fermer l’ouvrage sur cette note négative, d’autant plus qu’il a suscité en moi de l’intérêt pour ces trois femmes, mais sans l’assouvir.
Lien : https://akarinthi.com/
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