En marchant, nous avons trouvé ce qu'assis devant une table nous n'aurions jamais seulement imaginé...
Rousseau arpentait les forêts de Saint Germain , car il avait que la vérité qu'il cherchait n'était pas dans les lives.
Thoreau faisait de sa marche quotidienne un exercice spirituel.
Nietzsche gravissait les sentiers raides des collines d'Italie ou des glaciers de Sils Maria : marcher, toujours c'est prendre de la hauteur sur les autres, le monde, la culture et soi-même.
(Contribution de Frédéric Gros p.190)