Il y a un certain égoïsme dans le désir de partir. Mais le paradoxe du marcheur solitaire est qu'elle [la marche] le conduit à la rencontre, à l'échange, au partage, au savoir. Le bonheur vient en marchant. Avancer, mettre son corps en mouvement, guérit de tout. La pluie, le vent, le gel et le soleil nous lavent de l'engourdissement du quotidien.
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