Chaque hiver Zozo ressortait donc un des livres du tiroir du buffet et en parcourait lentement le récit avec toujours le même émerveillement attentif.
Il revoyait en pensée le vieil instituteur et le tout jeune Zozo, les sorties communes sur les champs cendreux de septembre ou dans les taillis fangeux de novembre et il murmurait que, nom de dieu, jamais il n'avait rencontré depuis un autre bonhomme de cette trempe là.