J'avais laissé mon regard dériver par-delà l'étang, les ajoncs et les nénuphars, les touffes d'herbe bien vertes.
Jusqu'au mur en métal.
Un mur métallique dur, froid, impitoyable, hérissé de rivets, maculé de graisse et abîmé. Remontant ensuite le long de la paroi, j'étais tombé sur cet énorme projecteur solaire au centre du plafond. Au-dessus se trouvait le niveau 2, puis le niveau 3.
Et au-delà de ces couches successives de métal impénétrable se trouvait le ciel que je n'avais jamais vu.