L'influence du décor, de l'habitat, de la nature, de l'ambiance géographique sur la littérature nationale d'un peuple est fausse ou périmée, ou dois-je considérer le manque d'une philosophie spécifiquement brésilienne dans le phénomène de la production littéraire de cette nation comme un effet du climat? Le Brésilien n'a pas besoin de chaleur artificielle. Il ne médite pas au coin du feu. Il fait la sieste. Ce qui explique sa crédulité, son manque de ressort, ses visions, son infantilisme...