L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant. […] Mais quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue puisqu’il sait qu’il meurt et l’avantage que l’univers a sur lui, l’univers n’en sait rien.