« Nous sommes comme des olives, dit tristement le commerçant, ce n’est que quand on nous presse que nous donnons le meilleur de nous-mêmes, mais qu’y faire ? Jeune homme, quand vous reviendrez dans notre petite ville, rendez visite à un homme dont les livres de comptes sont positifs, mais dont les mains sont coupées à tout jamais des belles jeunes filles. »