A la fonderie Poldi, des hommes désespérés relèvent l’espoir qui traîne dans la boue. Chose étonnante, on ne cesse d’inventer et d’aimer la vie même lorsque le cerveau en papier argenté engendre des images véreuses et que le torse écrasé sous les bottes crache du malheur. Nous ne ferons pas notre deuil de la beauté tant qu’il y aura des hommes pour abandonner menu, machine à calculer et famille afin de suivre une belle étoile.
(p.143) – « Poldi la belle »