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Critiques de Boris Razon (18)
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Palladium

Boris Razon n’a que 29 ans quand sa vie bascule dans l’horreur. Jusqu’à présent, la vie l’avait gâté : un métier passionnant, une femme qu’il aime, l’avenir devant lui. Quand il commence à ressentir des douleurs dans le bas du dos et des picotements au bout des doigts, il s’inquiète forcément mais son entourage le rassure. Boris est hypocondriaque, il s’agit sûrement de symptômes qu’il s’invente, comme souvent. Pourtant, son état de santé se dégrade; la souffrance devenant intolérable, il est hospitalisé. Sans que les médecins ne trouvent la moindre explication, Boris se paralyse peu à peu. Bientôt, il n’est plus qu’un corps mort, incapable de bouger, de manger ou de respirer sans machines. Seul son mental tient le coup et lui permet d’explorer son univers intérieur, de maintenir la vie et l’espoir.





Des 64 jours qui ont précédé sa paralysie jusqu’à sa « résurrection », Boris RAZON raconte l’angoisse, la frayeur, l’impuissance, la folie, tous les sentiments qui ont été les siens à mesure que son corps lui échappait. Mais que l’on ne s’y trompe pas ! Palladium n’est pas le récit larmoyant d’un homme qui aurait frôlé la mort et vu la lumière au bout du tunnel. Non, c’est une histoire vibrante de vie qui raconte le combat intérieur de l’auteur pour quitter son corps-prison, son corps-tombeau. Manger, fumer, faire l’amour…des choses que l’on fait sans s’en rendre compte, des choses qu’il veut encore faire.

Cette maladie dont la cause reste inconnue -peut-être une intoxication alimentaire- a métamorphosé Boris RAZON. L’homme qui s’est relevé ne sera plus jamais le même. Dans son enfermement, il a connu un autre lui-même, le combattant qui a vaincu le sort, la bête qui sommeillait. Guéri, il lui faudra cohabiter avec ce double fantasmé.

Un récit puissant qui ne laissera personne indifférent.
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Palladium

.C'est un premier roman paru lors de la rentrée littéraire 2013 écrit par un certain Boris Razon. J'avais beaucoup entendu parler de ce roman, ardemment défendu par la critique et figurait parmi les finalistes du Goncourt, mais j'avais peur de lire, de par son sujet, particulièrement anxiogène pour un angoissé et pas loin de l'hypocondrie que je suis...



Et puis finalement, lorsque je l'ai vu paraitre dans la sélection des blogueurs du livre de poche du mois de septembre ( car c'est aussi la rentrée pour les poches), je me suis dit que je pouvais quand même pas passer à côté de ce livre qui nous présente de l'intérieur la brusque descente aux enfers d'un homme qui se retrouve paralysé en quelques semaines, puis six mois qu'il passe sur son lit d'hôpital, en proie à de nombreuses hallucinations.



Le livre commence de manière très fort, avec cent premières pages, haletantes, addictives, qui défilent comme un compte à rebours implacable, où la maladie accapare progressivement le corps de ce journaliste qui ne sait pas comment parer ce corps étranger qui s'immisce en lui de façon de plus en plus terrifiante.



Boris Razon cherche à comprendre comment il a bien pu se retrouver paralysé de la tête aux pieds sur un lit d'hôpital; à la recherche de l'instant fatidique, et j'ai trouvé cette démarche passionnante et effrayante en même temps.



Ensuite, dans un second chapitre, on part dans un univers totalement barré, dans lequel l'auteur nous narre les voyages totalement hallucinés que son esprit a pu faire. Si l'idée de mélanger hallucinations du malade et extraits bruts de son dossier médical est vraiment épatant, mix saississant de froideur clinicienne et de délires inhérents à la maladie et aux médicaments, il faut reconnaitre qu'on a quand même du mal à suivre ces passages tellement hors de toute raison, où l'on croise pirates sanguinaires, prostituées japonaises, chiens maquillés, et bout d'une centaine de passages on perd le fil et on a du mal à s'accrocher à quelque chose de tangible, malgré l'évidence du style littéraire.



Heureusement, la dernière (courte) partie, lorsque l'auteur recouvre peu à peu ses esprits, captive à nouveau, et surtout bouleverse totalement, notamment dans cette scène magnifique où Boris Razon ne se reconnait pas dans le miroir de l'ascenseur et voit son double d'avant la maladie lui dire au revoir...



Une scène absolulement déchirante comme on en lit rarement dans la littérature française. Une lecture dérangeante, inconfortable mais en même temps déchirante et indispensable.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Écoute

"Tout ça pour ça", c'est ce qui m'est venu immédiatement à l'esprit quand j'ai refermé ce roman.



Pourtant j'ai adoré l'écriture, quoique parfois un peu lourde (une des phrases du livre fait une page entière!), la construction alternant les lieux, époques et personnages m'a aussi beaucoup plu, les liens qui s'établissent progressivement...



Mais... Mais je crois que justement c'était tellement génial qu'aucune chute n'aurait pu me plaire, être à la hauteur!

Cependant cette chute colle au roman et à l'époque qu'il dépeint: stimulations de toutes parts, informations en tous sens, bruit monstrueux autour d'un événement pour finalement laisser retomber les choses comme un soufflé, dans le plus grand silence et manque d'informations... A l'image de l'actualité, il nous laisse sur notre faim, par manque de résolution du problème!



J'ai dévoré le livre, j'ai été déconcertée tout au long des pages, cette déception finale me laisse donc amère bien que j'y vois une belle métaphore... Mais je ne regrette cependant pas cette découverte, un auteur dont je note le nom et penserait à suivre les futures publications!
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Palladium

Décidément, les gens de Libfly et du Furet du Nord, ils vont penser que je suis quelqu’un d’horriblement méchant. Ils m’envoient des bouquins, comme ça, par pure bonté d’âme, et moi derrière je dis que j’aime pas. Pourtant, normalement, à cheval donné on ne regarde pas les dents, mais je ne peux pas m’empêcher de les regarder moi ces chicots et je ne peux que penser que Boris Razon, à son Palladium, il ne lui a pas donné assez de fluor quand il était gamin. Du coup, par endroit, ça part un peu en quenouille, cette affaire.



Bon, comme c’est un premier roman français, c’est un mélange d’autobiographie et d’autofiction. Je veux dire, bon, maintenant, on le sait, quand on lit du premier roman français, ce sera à la première personne du singulier et il y aura de vrais gens dedans. On le saura rapidement, tout simplement parce que l’auteur répète et répète les prénoms sans arrêt, tous les personnages ont des prénoms pour bien montrer qu’il n’oublie personne. C’est gênant, je trouve, on essaye de se souvenir des prénoms, on n’y arrive pas, on se paume, on se retrouve parfois, la majorité du temps on se perd. Là, au moins, on ne peut pas se perdre, Razon a pensé à nous et il nos précise bien qui est qui « ma sœur Annette », « Martine l’infirmière ». Pratique.



Pour le reste, étant donné qu’il est paralysé intégralement et branché sur ventilateur pendant à peu près tout le bouquin, il ne se passe pas grand chose. Ou plutôt si, il se passe des choses, des choses vraies ou des hallucinations, des aventures solidement barrées (oui il y a un jeu de mots, mais vous ne le comprendrez que si vous lisez le bouquin).



Je me suis ennuyée. Pourtant j’aime les histoires médicales, je regarde des séries médicales, mais bon entre les extraits de dossier médical auxquels je ne comprenais pas grand chose et les élucubrations du Boris, ben… non, rien, ça n’a rien remué en moi. Je ne dois pas faire partie de la cible.
Lien : http://www.readingintherain...
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Palladium

Etre hypocondriaque et lire Palladium, ou le masochisme par le roman...

Drôle de livre. J'ai eu parfois l'impression d'avoir déjà lu cette histoire (Dante, ça vous dit quelque chose?), mais ce n'est pas une gêne. Il y a une forme d’honnêteté par rapport à la référence qui permet de profiter de l'histoire de cet homme, et de l'aventure délirante que lui fait vivre son coma. Ce n'est pas tant au niveau du témoignage (ce n'est pas un documentaire) que se trouve l'intérêt de l'ouvrage mais plutôt au niveau du projet : faire un récit d'un délire. Et si, sur le plan de la narration on sait assez vite qui sera la victime (oui, il y a une sorte de traque), reste la question de savoir comment l'auteur va faire pour nous tenir, pour emmener le lecteur plus loin dans cette histoire, et, sans trop pouvoir dire pourquoi (manque d'outil analytique de ma part) ça fonctionne. On avance, ou plutôt, on s'enfonce avec lui. Si d'autres témoins ayant vécu (mouru?) ce genre d'expérience peuvent ne pas s'y retrouver, moi ce n'est pas du tout l'aspect documentaire qui m'a intéressée, ou alors le genre cauchemar-documentaire (faudrait-il y mettre le Horla?), c'est plutôt la lectrice de fiction qui y a trouvé une histoire à lire.

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Palladium

Avant de le lire, il vaut mieux s’intéresser d’un peu plus près aux grandes lignes de l’histoire. C’est un livre perché, très psychologique, et l’on comprend pourquoi quand on a fini de le lire… Mais c’est extrêmement déroutant.

Si le début commence par l’explication et la présentation du personnage (qui est d’ailleurs l’auteur) en proie à un mal mystérieux qui finira par le paralysé des pieds à la tête, ce livre raconte en détails une réalité impossible, un monde onirique, étrange, perturbant, des événements sans queue ni tête se succédant à une cadence folle, avec des personnages tantôt imaginaires et presque monstrueux (des femmes à plusieurs seins, des ninjas surpuissants, des mercenaires qui réssucitent…) tantôt réels puisque l’on reconnait dans les dires du narrateur sa femme, les différentes infirmières qu’il rencontre, sauf qu’il y a quelque chose de dérangeant. Le patient/narrateur pourtant paralysé se retrouve sur un bateau dans une fête mondaine, puis dans des maisons orientales tout en essayant de s’échapper car aux mains de russes mercenaires, c’est un peu comme si l’on attrapait une fièvre puissante tout le long du livre. Alors honnêtement ça peut être dérangeant, surtout que l’on se sent lesé quand on comprend que cette réalité impossible, l’auteur l’a vécu uniquement dans sa tête tout au long des quelques mois qu’il a passé paralysé et sous traitements lourds, et surtout, dans le coma.



Les chapitres sont ponctués de brefs extraits du suivi du patient et de son dossier médical. C’est intéressant au début, puis ça perd vite de l’interêt car cela n’apporte rien au récit ni à la compréhension des visions de l’auteur… Bref, qu’il ai pu ressentir le besoin vital de mettre sur papier toutes les horreurs qu’il a traversé dans les limbes de son cerveau à défaut d’être dans le monde réel, d’accord, sauf que lorsqu’on est pas préparé à ce genre de récit, c’est dur, éprouvant, presque effrayant et ce n’est pas forcément ce que l’on recherche dans un roman…
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Écoute

La narration ne se limite, heureusement pas, à la restitution des écoutes de Vincent Lemasson qui traque, via les textos, les appels , Spapchat, depuis sa camionnette-sous-marin postée dans une rue de Paris et qu'on sent vite noyé dans la multitude de vies qui passent à portée de ses écouteurs.

On croise Crospito, qui cherche dans tout Paris l'appareil photo de Victor le Roumain qui l'immortalisait sur la pellicule argentique tous les 7 ans. Il se murmure qu'il pourrait être "Le Morse", métalleux à la carrure d'haltérophile alimentant la légende du hard-rock et qui va attirer tout un tas de fans gothiques sur l'avenue des Gobelins. Pourtant Crospito semble n'être qu'un type un peu étrange qui a étudié la population marrane du Portugal et Fernando Pessoa...

On suit aussi les errances de Miguel Tuschinsky, avocat mexicain mandaté par un baron de la drogue, Herman "El Flaco" Bachman qui veut devenir une femme et que des cerbères poursuivent jusqu'à Paris.

Etrange ? Sans lien aucun que cette avenue parisienne ? Pourtant, non ! C'est un roman complexe sur l'identité que livre Boris Razon : celles, fugitives, qui gravitent autour de lui et livrent des instantanés de leurs vies (et révèlent la vacuité des échanges, le désir de retenir l'attention et l'amour) mais aussi celles qu'on voudrait changer, pour devenir quelqu'un d'autre, pour se cacher des autres ou de soi.

Le roman questionne sur qui est-on, que veut-on révéler de soi, jusqu'où peut-on se livrer aux autres et pour leur montrer quoi de notre propre personne ?

Chacun des personnages semble interroger l'autre en miroir.

J'ai été assez vite emportée par cette lecture qui met en perspective nos moyens de communiquer à l'aune de la multiplication des réseaux.

Merci à Valentine des Editions Stock pour cette découverte !
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Palladium

Je n'ai pas pu finir ce livre : passées les 100 premières pages l'auteur tombe dans un délire qui est pour moi totalement incompréhensible ! Dommage ! Il y avait pour moi bien mieux faire sur le sujet !
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Palladium

Ce premier livre de Boris Razon était dans les sélections 2013 du Goncourt et du Fémina. Un roman autobiographique surprenant. A part le début, où l’on assiste à l’installation de la maladie mystérieuse (le diagnostic final, variante de syndrome de Guillain-Barré, est incertain), ensuite, l’on assiste « hors du corps » à l’errance mentale du malade, le lien avec la vie réelle se faisant par de laconiques extraits de résultats d’analyses ou de commentaires des personnels soignants. Le lecteur est plongé dans les cauchemars du personnage, ses folles poursuites peuplées de personnages réels (ses proches) et fantasmés (les méchants, à tous les coins de couloir, pardon, de pages). Des cauchemars d’autant plus vivants qu’au retour à la vie « normale », Boris Razon en a gardé un souvenir net qu’il partage avec le lecteur. Prêt pour une descente aux enfers, façon descente aux Enfers d’Ulysse dans l’Odyssée d’Homère, ou un voyage onirique façon Aventures d’Alice au pays des merveilles, de Lewis Carroll, deux livres mis en exergue par l’auteur avec également D’autres couleurs, d’Orhan Pamuk, que je lirais bien [revoir Neige]…
Lien : http://vdujardin.com/blog/ra..
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Palladium

Un récit stupéfiant de la dégénérescence du corps dans la douleur et une plongée dans l’inconscient.
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..
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Écoute

Attention, vous etes écoutés.

Nous suivons dans ce roman le policier Lemasson. Le suivre c'est un grand mot puisque sa mission est d'être en poste dans un camion banalisé et "d'écouter" toutes les conversations orales ou écrites des smartphones qui l'entourent. Il doit à partir de là repérer toutes conversations susceptibles d'être terroristes. Suspicion justifiée ou non, il va en suivre plus attentivement 3. Mais en même temps, son œil va être intrigué par cet homme de qui n'émane rien : aucun son, aucun mot. A côté de Levasson, 2 autres histoires vont se raconter, deux personnes mais à travers elles bien plus de 2 vies. Plusieurs thèmes sont abordés sans qu'il soit toujours évident de leur trouver un point commun. Ce qui les relie néanmoins est la question de la liberté d'être, de penser dans une société, une culture mais aussi au fil de sa propre vie.
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Les nouvelles guerres : Sur la piste des ha..

Par-delà les guerres « ordinaires » dont nous pouvons lire ou voir journellement les avancées dans les médias tant écrits que télévisuels – on songe en particulier à ce qui vient de se passer avec la Syrie, l’Irak et l’Etat Islamique notamment ou les combats que mène l’armée française dans les pays du Sahel – il y a des guerres plus souterraines et pernicieuses. Celles que se livrent certains états et de nombreux (des milliers d’hackers) de par le monde. En s’infiltrant dans les réseaux pour piller tout ce qu’ils peuvent y trouver, les hackers peuvent mettre à mal toutes les infrastructures des banques, des administrations d’un pays, des entreprises qu’elles soient petites, moyennes ou des multinationales ou même des particuliers avec par exemple les « ramsonwares ». Ces cybercriminels sont devenus des partenaires pour certains états. C’est ainsi que les hackers russes ont piraté les sites du parti démocrate américain en 2016 et pu influer sur les élections présidentielles. C’est ainsi encore, que l’Ukraine est devenue un champ d’expérience pour ces hackers probablement télécommandés par les services de renseignements de Vladimir Poutine (FSB, GRU etc…) Les virus écrits et distribués sur les réseaux par ces guerriers d’un genre nouveau sont particulièrement redoutables. Tous les états et toutes les entreprises d’état ou pas sont désormais dans l’obligation de se défendre en sécurisant au maximum leurs propres réseaux et éventuellement en contre-attaquant.

Les auteurs Etienne Huver et Boris Razon journalistes d’investigation ont enquêté sur ces « nouvelles guerres » pour la chaîne de télévision Arte. Ce livre est paru à l’appui du documentaire.

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Écoute

Roman sur la virtualisation des relations humaines, ce deuxième livre interroge aussi sur la possibilité de vivre caché dans un monde de plus en plus surveillé.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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Écoute

Boris Razon livre une réflexion subtile sur l’identité, la solitude et l’intimité dans un monde contemporain hyper-connecté où la moindre donnée privée peut être dévoilée.
Lien : https://www.la-croix.com/Cul..
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Palladium

La descente aux enfers d'une maladie soudaine, inconnue, accaparante, paralysante. Très bien décrite, le lecteur est réellement dans la peau du malade, sa souffrance mais aussi cette angoisse soudaine et inéluctable.
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Palladium

Au seuil de Palladium, premier roman de Boris Razon, voisinent Lewis Carroll et Homère — Alice captive du pays des merveilles et Ulysse au seuil du royaume d'Hadès, associés comme pour annoncer une épopée, une geste ample et tragique, de l'autre côté du miroir.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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Palladium

Ce premier roman de Boris Razon se lit d’une traite, et laisse, bien après l’avoir refermé, un parfum étrange. Comme si le poison qui a failli avoir sa peau, avait irrigué les pages, laissant dans l’air un soupçon d’acidité.
Lien : http://culturebox.francetvin..
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Palladium

Son récit fantasmagorique est régulièrement interrompu par des extraits de son dossier d'hospitalisation, qui égrène laconiquement les résultats d'analyses. Comme la preuve qu'au fond, tout ceci était bien réel. Boris Razon a vaincu. De son voyage au bout de l'enfer, il nous a rapporté ce Palladium, un fragment d'outre-tombe.
Lien : http://www.lepoint.fr/livres..
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