[le narrateur s'adresse à un ami qui vient de perdre un être cher]
Je le consolai de mon mieux. Les paroles, en de telles circonstances, sont inutiles. Une poignée de main, ou une main fortement appuyée sur l'épaule de l'ami dans l'affliction, ou encore un sanglot se mêlant aux siens, ce sont là des expressions de sympathie que le cœur reconnaît tout de suite.