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4.25/5 (sur 377 notes)

Nationalité : Pays-Bas
Né(e) à : Westerschouwen, Zélande , le 26/04/1988
Biographie :

Rutger Bregman est un écrivain, historien et journaliste néerlandais.

Il a publié quatre livres sur l'histoire, la philosophie et l'économie.

En septembre 2013, Bregman rejoint comme journaliste le magazine en ligne "De Correspondent". Son article sur le revenu de base a été nominé pour le Prix Européen de la Presse.

En septembre 2014 paraît son livre "Utopies réalistes" (Gratis geld voor iedereen) qui est devenue un best-seller et a lancé dans son pays un mouvement en faveur du revenu minimum universel dont la presse internationale s'est fait l'écho.

"Utopies réalistes" est en cours de traduction dans 22 pays et depuis sa sortie au Royaume-Uni (sous le titre Utopia for Realists) est dans la liste des meilleures ventes.

Il fut deux fois en lice pour le Prix Européen de la Presse en tant que journaliste à "De Correspondent".

Il collabore également avec de grands journaux comme le Washington Post et le Guardian.

Twitter : https://twitter.com/rcbregman
son site : https://www.rutgerbregman.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/rutger.bregman/

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Source : Wikipedia
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Citations et extraits (165) Voir plus Ajouter une citation
L'extrême pauvreté, le nombre des victimes des guerres, la mortalité infantile, la criminalité, la faim, le travail des enfants, les décès dus aux catastrophes naturelles et le nombre de crashs aériens ont tous chuté au cours des dernières décennies. Nous n'avons jamais été aussi riches, en sécurité et en bonne santé.
Pourquoi nous l'ignorons ? C'est bien simple : parce que les infos ne parlent que des exceptions. Attentats, violences, catastrophes : plus un événement est exceptionnel, plus il a de chances de faire la une.
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Si nous "croyons" que la plupart ses gens sont mauvais, c'est ainsi que nous allons nous traiter mutuellement. Du coup, nous allons flatter chez chacun et chacune, les plus vils instincts.
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Nos lointains ancêtres ont rarement mis l'individu sur un piédestal. Les chasseurs et cueilleurs du monde entier, des toundras glacées aux déserts brûlants, croyaient que tout était lié. Ils concevaient l'être humain comme faisant partie d'un tout beaucoup plus vaste, comme étant relié à tous les animaux, à toutes les plantes ainsi qu'à la Terre-Mère.
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Au cours des dernières décennies, les centres-villes ont été défigurés les uns après les autres par d'énormes panneaux publicitaires. Si quelqu'un recouvre votre maison de graffitis, on appelle cela du vandalisme. Mais lorsqu'il s'agit de publicité, on peut sans problème en barbouiller l'espace public. les économistes parlent alors de "croissance".
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Car il n'y a rien de plus puissant que des gens qui font ce qu'ils font "parce qu'ils ont envie de le faire".
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En temps normal, l'être humain fonctionne constamment en miroir. Si quelqu'un rit, nous rions aussi. Si quelqu'un bâille, nous bâillons aussi. Mais les puissants réagissent bien moins souvent en miroir. C'est comme s'ils n'étaient plus reliés aux autres. Comme si on avait débranché le cordon.
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Lorsqu’un chercheur dépeignait l’être humain comme un primate sanguinaire, ses recherches étaient souvent reprises par les journalistes. Mais lorsque l’un ou l’autre de ses collègues livrait un tableau moins sombre, presque personne ne l’écoutait. (pages 104-105)
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Premièrement : à quel point notre vision de l’humanité est déformée, et comment des journalistes en mal de sensations en jouent. Et deuxièmement : à quel point nous pouvons compter les uns sur les autres en cas d’urgence. (page 215)
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L'idée selon laquelle les gens seraient naturellement égoïstes, agressifs et portés à la panique est un mythe tenace. Le biologiste Frans de Waal appelle cela la "théorie du vernis". La civilisation ne serait qu'une mince couche qui se craquellerait à la moindre anicroche. En réalité, c'est l'inverse : c'est précisément lorsque les bombes tombent du ciel ou lorsque les digues rompent que le meilleur en nous affleure à la surface.
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Trop de militants écologistes sous-estiment la résilience de l’être humain. Et je crains que leur cynisme ne fonctionne comme une prophétie autoréalisatrice, un nocebo qui nous décourage, et qui ne fasse qu’accélérer le réchauffement de la planète. Le mouvement pour le climat a lui aussi besoin d’un nouveau réalisme. (page 156)
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