Au début, j’étais troublé par ce qui passait pour être de l’amour dans ce monde : on se débarrassait des gens parce qu’ils étaient trop vieux ou trop gros ou trop pauvres ou parce qu’ils avaient trop de cheveux, ou pas assez, parce qu’ils avaient des rides, parce qu’ils étaient à mille lieues d’être célèbres. C’était comme ça qu’on choisissait les amants. C’était ça qui décidait des amitiés. Et il fallait que je l’accepte si je voulais arriver quelque part.