J'ai vu une de mes sœurs, la tête tranchée, un pieu planté dans la poitrine et les yeux pendant sur ses joues, et je n'ai pas pleuré. Non, au contraire, j'ai poursuivi les meurtriers, je les ai écorchés et je leur ai fait manger leur peau. Puis, je les ai violés avec des fers chauds et avant qu'ils ne meurent, je les ai badigeonnés d'huile, je les ai allumés comme des torches et je les ai jetés du haut des falaises de Brasov ! Seulement, après, j'ai pleuré... des larmes de joie !