- Le monde change, insista Tamas. Les gens refusent de n'exister que pour le bon plaisir de leur gouvernement ou de leurs rois. Les gouvernements existent pour servir le peuple, et ce dernier devrait avoir son mot à dire.
Nisklaus eut un geste de dérision.
- Impossible. On ne peut laisser les gueux prendre des décisions importantes.
- Un peuple ne devrait pas en opprimer un autre.