Le lendemain matin, nos adieux furent simplifiés à l'extrême du fait que Monique ne se réveilla pas pour me voir partir. Le jour s'était levé sur un ciel étincelant. Par la fenêtre, je jetai un dernier coup d'œil sur les monuments funéraires du Père-Lachaise, puis, bouclant allègrement mon bagage à main, je quittai mon domicile comme un oiseau, sa cage.