On retrouva quelques heures plus tard leurs corps calcinés, mais dans une étreinte ultime, avec encore la grimace du rire sur la bouche mais c’était le dernier. Ainsi se termina cette terrible histoire. Avant de trépasser il avait écrit dans son délire, sur les murs et avec son sang, ces simples mots pleins de réminiscence : Adieu l’amour, adieu la poussière et les roses, adieu les mites, adieu la lumière et les cons, je meurs sans haine en moi pour le peuple breton.