Jacques, écrivain : L’éboueur se retourne. Son regard traverse l’auteur comme s’il était transparent, invisible. L’écrivain n’ose plus bouger. Il assiste, impuissant, au déroulement de sa fiction. Non, non, l’éboueur doit hésiter, transpirer. Il doit s’arrêter devant la maison, regarder par la fenêtre, se faire houspiller par son collègue ! Mais l’écrivain a beau crier, personne ne l’entend et les personnages n’en font qu’à leur tête.