"Berlioz n'est pas Hugo. Personne ne le craint, peu nombreux sont ceux qui l'apprécient. La France aime les livres mais ne comprend pas si bien la musique. Il se sent proscrit sans l'être, il n'a rien d'un héros, on ne reconnaît pas assez son génie, il vit comme en exil dans son propre pays…"