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3.79/5 (sur 39 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Civitavecchia, Italie , le 03/02/1970
Biographie :

Né près de Rome au tout début des années soixante-dix, Bruno Pochesci est de plus en plus tiraillé entre l'écriture et sa passion de toujours, la musique. Cette tardive vocation il la doit en grande partie à l'amicale impulsion de Jean-Pierre Andrevon, pour lequel il a produit, arrangé et enregistré quatre CD (le cinquième est en route). Il publie en mai 2013 sa première nouvelle, Les Retournants. Prolifique et aussi à l'aise dans le fantastique que dans la science-fiction, il enchaîne depuis les publications. Lauréat en 2014 des prix Visions du futur et Alain Le Bussy, il prépare un premier recueil de nouvelles et fignole son deuxième roman, le premier ayant déjà été expédié à qui de droit.

BIBLIOGRAPHIE :

Les Retournants (Galaxies 23 / Lunatique 86, revue, mai 2013)
Mondo zombi (Long Shu Publishing, anthologie, avril 2014)
Jamais plus ! (Les Éditions Luciférines, anthologie « Nouvelles peaux », mai 2014)
Du rififi dans la ceinture de Kuiper (Rivière Blanche, anthologie « Dimension système solaire », juil. 2014)
L'homme est une baleine comme les autres (Galaxies 30, revue « spécial Nemo », juil. 2014)
In vinylo veritas (AOC, revue du Club Présences d'Esprit, oct. 2014, Prix Visions du futur)
L'île miroir (Edilivre, recueil de nouvelles, oct. 2014, 2e prix concours Anzin-Saint Aubin)
Le syndrome islandais (Gandahar N°1, revue, nov. 2014)
Virtuose (Galaxies 32 / Mercury, revue, nov. 2014, Prix Alain Le Bussy)
La gare de Perpignan (Géante Rouge, revue, nov. 2014)
Comme un passage à niveau (Lune Ecarlate, anthologie « Histoires de... folie », déc. 2014)
Dehors il neige (Les Éditions Luciférines, anthologie « Maisons hantées », avril 2015)
Une vie ne suffit pas (Galaxies 35/Mercury, revue)
Le dernier jouir du condamné (Les Éditions Malpertuis, anthologie « Malpertuis VI »)
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Source : Wikipedia
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Bibliographie de Bruno Pochesci   (36)Voir plus

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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Il parait que je suis fou , je veux bien le croire, j'ai déjà entendu mes livres me le murmurer avec leur haleine de moisissure. C’était souvent le premier mot qu'ils me disaient, ....Parfois je comprenais leurs reproches ? car il est vrai que ce que j'ai fait aux deux australiens de Cracovie n’était pas très galant .Ce n'est pas digne de nous_me disait les livres_......Tu aurais pu au moins les recoudre............
Quentin Foureau
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Comme la quasi-totalité de nos concitoyens, la lâcheté dont nous faisions montre au quotidien ne nous empêchait pas de vivre à peu près normalement.
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Bien sûr, je pourrais lire ou écrire, entamer une nouvelle carrière, profiter de ces heures perdues pour me mettre au solfège, créer, innover, tenter de rendre le monde un peu meilleur grâce à de formidables inventions. Mais je préfère rester là, vautré sur mon canapé, l'esprit anesthésié par un défilement ininterrompu d'images sans intérêt.

Jean-Pierre Favard, "Insomniaque"
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De Jean-Charles Flamion

J'avais trop longtemps bu à la fontaine de la solitude et il me tardait de rattraper le temps perdu, loin de ces eaux troubles. c'est un truisme ; un homme existe par le biais de ce qu'il possède.Nous sommes le sexe du "dehors" alors que la femme est le sexe du "dedans". Un homme existe qu'à travers ce qui n'est qu'un prolongement que lui même; son argent, sa voiture et sa femme; autrement dit, des représentations métaphoriques de sa voyante anatomie.......
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Barbara Cordier alias Unity Eiden , dans Nouvelles Peaux

Six milliards, bientôt sept,puis huit, toujours plus, et la médecine qui progresse. ça piétine, ça s’étouffe, ça braille, ça L’ÉPUISE !
Pas assez de catastrophes.
Il voudrait que la terre s'ouvre un peu chaque jour.Il faudrait plus d'eau, des vagues pour avaler tout ça. Des citées noyées, des cadavres partout, qui flottent, des coquillages, des pierres accrochées aux immeubles ou du feu, du feu partout, des têtes en FEU.
Oui il aimerait tellement voir tout cela s'effondrer. Ne plus les supporter, ne plus les entendre derrière ses murs, ne plus se faire bousculer dans la rue .
PARCE QU'ILS GROUILLENT ! ils piétinent ! Il y en a TROP.
Trop, trop, TROP ! Trop de bouches, trop d'yeux. Ça continue. Ils ne veulent pas s’arrêter. Il ne veulent pas le laisser tout seul. Seul dans la ville. DANS LE SILENCE. Avec les mouches, les vers. Ils n'y aurait plus jamais de fêtes. Plus d'enseignes lumineuses, plus d’existences à raconter. Ce serait calme. Ce serait bien.
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Si Monsieur me permet une remarque tout ce qu'il y a de plus neutre, je pense que Monsieur est en train de se surpasser. » Le sculpteur achève un ponçage crucial en redoublant de minutie, rictus mi-méprisant mi-diverti derrière le masque. S'il n'a jamais, au cours de sa longue et glorieuse carrière, accordé le moindre crédit aux innombrables dithyrambes des plus célèbres critiques d'art, il est évident que l'avis d'un laquais — assené en méconnaissance totale de cause, et en vertu d'émois aussi rustiques et binaires que le classique « j'aime/j'aime pas » — ne saurait recouvrer à ses yeux plus d'intérêt que n'en aurait une pagode miniature de matières fécales se délitant sous une pluie acide.
"Dix petits warps"
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Les eighties : les hostos se remplissent de pédales fatiguées, maigrelettes, agonisantes.
Un mouroir pour tantes.
Ils sont par milliers à être infectés. Trop de partouzes, trop de drogues, trop de jouissances, trop de bites fourrées dans les culs, trop de bites fourrées partout.

Morgane Caussarieu, "Le masque de la mort lente"
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Dans son bleu, dans le bleu de l'école, il n'y avait pas de quoi s'aimer. Ou alors, s'aimer comme la nuit précédente, s'aimer par la bouche, s'aimer par les doigts et par l'obscurité. Mais ça ne pouvait pas nous mener à une vie comme dans le livre. Décidément, il fallait une maison qui nous protégerait, qui nous comprendrait, parce qu'il paraît que je suis fou.
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Au cours du siècle qui s'achevait, question hécatombes, on avait fait beaucoup mieux qu'Hitler et Staline. Deux milliards de morts, tout de même. Entre famines chroniques, exodes climatiques et conflits hydriques, l'homme — on ne pouvait plus l'ignorer — était un SS (sapiens sapiens) pour l'homme. Mais paradoxalement, les vingt millions de morts (dix de la répression, dix dus aux conséquences directes des grands chamboulements enclenchés) de ces dernières années allaient sans doute en éviter plusieurs milliards au siècle suivant. " En frapper un pour en éduquer cent "... Qui aurait pu imaginer que cette maxime d'un des pires dictateurs du XXe siècle pouvait receler le possible salut du XXIIe ?
"Virtuose"
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De Morgane Caussarieu

Les seventies; le top du top pour les homos !
les types s'assument, osent se montrer tels qu'ils sont, imposent leur culture et leur image androgyne au monde entier. La bisexualité devient in ...
Mais tout age d'or à une fin...
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