Chaque fois que le personnage principal sursautait, je sursautais moi aussi. Chaque fois qu’elle voyait des ombres là où il n’y en avait pas, je les voyais aussi. Son monde rétrécissait, devenait plus oppressant. Le mien suivait la même pente au point que je fus soudain convaincue qu’il n’y avait pas assez d’air dans la salle pour tous ses occupants et que je devais sortir de là.