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4.18/5 (sur 2739 notes)

Nationalité : Australie
Biographie :

C. S. Pacat est une autrice australienne.

Elle est l'autrice des triloges "Captive Prince" et "Dark Rise".

Elle écrit également les comics "Fence" basés sur l'escrime.


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Citations et extraits (219) Voir plus Ajouter une citation
Il sentit ses poings se serrer, entendit l’amertume dans sa propre voix.
— Parce qu’une intrigante choisirait toujours l’homme le plus faible. Plus il est faible, plus il sera facile à manipuler.
La stupéfaction envahit Damen, et il se retourna vers Laurent, qui le regardait sans malice. Le silence s’installa. Ce n’était pas… Ce n’était pas ce qu’il attendait de sa part. Tandis qu’il le dévisageait, ses paroles le traversèrent d’une manière inattendue. Il les sentit toucher quelque chose de dur et tranchant en lui, sentit que très doucement, ces mots faisaient bouger en lui ce qui y était cruellement, profondément enfoncé, et qu’il avait cru jusqu’à présent inébranlable. Il demanda :
— Qu’est-ce qui vous fait croire que Kastor est plus faible que moi ? Vous ne le connaissez pas.
— Mais je commence à te connaître, toi, dit Laurent.
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La bonté n'est jamais une erreur. Quelque part au fond de son coeur, c'est quelque chose qu'on n'oublie pas.
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- Je veux voir mon frère, dit-il.
- Tu n'as pas de frère, répondit Jokaste. Tu n'as pas de famille. Tu n'as ni nom, ni position. Tu devrais l'avoir compris, à présent.
- T'attends-tu à ce que je me soumette ? A ce que j'obéisse à... qui ? Adrastus ? Je vais lui arracher les yeux.
- Je te crois sans peine. Mais tu ne serviras pas ici, au palais.
- Où ? interrogea-t-il, menaçant.
Elle se contenta de le dévisager.
- Qu'as-tu fait ? siffla Damen.
- Rien, répondit-elle. Je n'ai fait que choisir entre deux frères.
[...]
-Pourquoi m'avoir gardé en vie ? Quel besoin cela satisfaisait-il ? Tout concorde, hormis cela. Est-ce que c'est...
Il se mordit les lèvres. Jokaste fit exprès de ne pas comprendre ce qu'il allait dire.
- L'amour d'un frère ? dit-elle. Tu ne le connais vraiment pas, on dirait. La mort, n'est-ce pas l'issue la plus facile, la plus rapide ? Non, tu dois demeurer hanté par l'idée qu'il ne t'a battu qu'une fois, mais que cette fois-là était la seule qui comptait.
Damen sentit son visage se décomposer.
-... Quoi ?
Elle lui effleura hardiment la joue. Ses doigts étaient fuselés, blancs, d'une élégance incomparable.
- Je comprends pourquoi tu préfères les teints pâles, dit-elle. Le tien ne laisse pas voir les marques de blessure.
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Il ne connaissait qu'une seule issue valable : la cour adjacente au champ d'entrainement, au premier étage.
Il s'obligea à marcher calmement, d'un air décidé, comme un serviteur que son maître aurait envoyé s'acquitter d'une commission. Son esprit était rempli de gorges tranchées, de combat rapproché et de poignards. Il repoussa ces pensées et réfléchit plutôt à l'itinéraire qu'il emprunterait pour traverser le palais. La voie était libre, pour l'instant.
Passer devant sa propre chambre lui fit une impression étrange. Il avait été surpris, depuis le moment où il avait été installé là, à quel point ses quartiers étaient proches de ceux de Laurent, adossés aux appartements princiers. La porte était entrouverte, comme les trois hommes à présent morts l'avaient laissée. La pièce paraissait... vide, et donnait la sensation que quelque chose clochait. Poussé par un instinct inextricable, peut-être le désir de masquer tout signe de son évasion, Damen s'arrêta pour fermer la porte. Lorsqu'il se retourna, quelqu'un l'observait.
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Je ne reproche pas aux insectes de bourdonner lorsque quelqu’un renverse leur ruche […]. Je préfère me demander qui a souhaité me faire piquer.
(p. 191)
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Je pense que ce que les gens ont été est moins important que ce qu'ils sont. Et que ce qu'ils sont est moins important que ce qu'ils pourraient être.
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— Tu ne sais rien, dit alors Laurent d’une voix froide et effroyable. Tu ne sais rien de moi. Ni de mon oncle. Tu es aveugle. Tu ne vois même pas… ce que tu as devant les yeux. (Laurent eut soudain un rire bas et moqueur.) Tu as envie de moi ? Tu es mon esclave ?
Damen rougit.
— Ça ne va pas marcher, prévint-il.
— Tu n’es rien, déclara Laurent, rien d’autre qu’un échec
ambulant qui s’est laissé enchaîner par le bâtard d’un roi, parce qu’il n’arrivait pas à satisfaire sa maîtresse au lit.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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Damen se débarrassa de son épée de bois et partit voir Laurent.
Il marcha dans les broussailles. Laurent ne prit pas la peine de venir à sa rencontre, mais se contenta de l'attendre. Une brise s'était levée. Les pans de la tente claquaient bruyamment.
- Vous me cherchiez ?
Laurent ne répondit pas, et Damen ne parvint pas à interpréter son expression.
- Qu'y-a-t-il ? demanda Damen.
- Tu es meilleur que moi.
Damen ne put s'empêcher de lâcher un soupir amusé, ni de balayer lentement Laurent du regard, de la tête aux pieds et des pieds à la tête, ce qui était sans doute un peu insultant. Mais tout de même...
Laurent rougit. Ses joues s'empourprèrent violemment, et un muscle se crispa le long de sa mâchoire tandis qu'il réprimait une émotion inconnue. Sa réaction surpassait toutes celles que Damen lui avait connues jusque-là, mais il ne put résister à la tentation de le provoquer un peu.
- Pourquoi ? Vous voulez que nous échangions quelques passes d'armes ? En toute amitié, proposa Damen.
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Il était vêtu succinctement à la manière des esclaves akieloniens, et propre des pieds à la tête. Il supposa que cela signifiait qu'on avait pris soin de lui, bien qu'il ne puisse en convoquer le moindre souvenir. Il portait toujours le collier et les menottes dorées. Son collier était relié par une chaîne et un verrou à un anneau de fer au sol.
Il faillit éclater d'un rire hystérique : un léger parfum de rose émanait de son corps.
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Il tendit la main et puisa une autre pièce dans la bourse que portait Damen, puis referma son poing sur l'écu.
- Regarde, j'ai appris un nouveau tour.
Lorsqu'il ouvrit la main, sa paume était vide, comme par magie. Une seconde plus tard, la pièce tomba de sa manche.
_ Enfin, je ne l'ai pas encore tout à fait maîtrisé.
_ Si le tour consiste à faire disparaître l'argent, je trouve que tu t'en sors très bien, au contraire.
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