AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Camilla Läckberg (1231)


Si on avait une boule de cristal qui nous montrait tout ce qu'on allait vivre dans sa vie, on n'aurait sans doute pas la force de se lever le matin. L'objectif est probablement qu'on reçoive la vie par portions. Qu'on reçoive les chagrins et les problèmes par morceaux juste assez gros pour pouvoir les avaler.
Commenter  J’apprécie          820
Les accusations, les mots durs, les injures, rien ne pouvait l’atteindre. Qu’est-ce que c’était, quelques heures d’insultes comparées à des années de culpabilité ? Qu’est-ce que c’était, quelques heures d’insultes comparées à une vie sans sa princesse des glaces ?
Commenter  J’apprécie          630
C'est plus facile de faire voler un cochon que de raccrocher quand on a sa mère au bout du fil.
Commenter  J’apprécie          621
Le pire n'était pas les coups cependant. C'était de vivre dans l'ombre des coups, d'attendre la fois suivante, le poing suivant. Et le plus cruel était qu'il le savait très bien et qu'il jouait avec sa peur. Il levait la main pour frapper, puis laissait le coup se transformer en caresse et en sourire. Parfois il la frappait sans la moindre raison apparente. Comme ça, des coups venus de nulle part. Non pas qu'il ait eu des raisons pour le faire en général, mais au milieu d'une discussion sur les courses à faire, ou sur le programme télé qu'ils regardaient, son poing pouvait partir subitement et l'atteindre au ventre, à la tête, dans le dos ou n'importe où selon son bon vouloir. Ensuite sans perdre le fil un seul instant il était capable de poursuivre le fil de la conversation comme si de rien n'était, tandis qu'elle, par terre, essayait de retrouver sa respiration. C'était le pouvoir qui le faisait jouir.
Commenter  J’apprécie          510
Et ce sont toujours les vainqueurs qui écrivent l’histoire. (p.294)
Commenter  J’apprécie          491
Je suppose que l’être humain a toujours besoin de quelqu’un à piétiner, quelqu’un qui a le dessous.
Commenter  J’apprécie          480
Mon Dieu. Cette volonté compulsive de notre société à mettre les gens en couple. Comme si la vie solitaire était une maladie qu'il fallait à tout prix éradiquer – mais pas dans n'importe quelles conditions. Était-ce la Bible qui avait établi cette vérité du couple qui constitue la norme ? Est-ce que tout avait commencé avec Adam et Eve, et avec le moment où les animaux montaient deux à deux sur l'arche de Noé ? Aujourd'hui l'arche des humains s'appelle Tinder. Des applications auxquelles les gens s'accrochent désespérément par peur de se noyer dans la solitude. Comme si elle était dangereuse.
Commenter  J’apprécie          402
Les personnes en larmes ont le même effet sur autrui que les accidents de circulation.Personne ne peut s'empêcher de regarder.
Commenter  J’apprécie          400
"Des centaines de petites perles s'étaient répandues sur le sol de la salle à manger. Kerstin l'avait consolée et lui avait dit qu'elle les retrouverait certainement toutes en balayant. Elle n'aurait qu'à les donner à un bijoutier qui les enfilerait de nouveau. C'était sûrement vrai. Mais ce ne serait plus pareil. Ce qui était détruit ne pouvait jamais redevenir comme avant. Un objet neuf restait un objet neuf."
Commenter  J’apprécie          400
"Ce qui était détruit ne pourrait jamais redevenir comme avant."
Commenter  J’apprécie          380
Il enleva sa veste, posa soigneusement ses chaussures dans l'entrée sur l'étagère prévue à cet effet, puis il alla rejoindre Rita dans la cuisine.
- On dirait qu'ils s'entendent bien.
- Qui ça ? dit Melberg bêtement.
Son cerveau était entièrement occupé par la vue du postérieur merveilleusement plantureux de Rita. Elle était en train de préparer le café devant le plan de travail.
- Senorita et Ernt, évidemment, s'exclama Rita en se retournant.
Melberg afficha un sourire embarrassé.
- Ah oui, les chiens, bien sûr. Oui, ils semblent s'apprécier.
Commenter  J’apprécie          340
Elle était poursuivie par ses rêves dans lesquels des visages se confondaient. Ruben devenait Bernard, qui devenait Matte. Des yeux accusateurs. Des yeux tristes. Des yeux désespérés. Des yeux qui se tournaient vers elle, pleins de colère et de haine. Derrière ses paupières closes, ses propres yeux s'agitaient nerveusement. Un son avait franchi le barrage des boules Quies, c'était un cri de douleur et de détresse. Mais la frontière entre rêve et réalité était floue, et le cri accompagna les images de ces yeux qui la poursuivaient.
Malgré les cauchemars, elle lutta pour se maintenir dans le sommeil. La réalité ne valait guère mieux et elle ne souhaitait pas la retrouver.
Commenter  J’apprécie          334
Le seul pouvoir que les autres ont sur ta vie, c'est celui que tu leur accordes.
Commenter  J’apprécie          290
Ruben se servit une tasse, n'en proposa pas à Vincent qui, rien qu'à l'odeur, comprit qu'il ne ratait rien. Ce café-là avait clairement eu une enfance difficile.
Commenter  J’apprécie          280
Tu sais ce qu'on dit : Happy wife, happy life.
Commenter  J’apprécie          273
Atterrée, elle regarda Kaj de l'autre côté de la table. Elle envisagea de tout lui raconter, mais comprit vite que c'était une idée insensée. Trente ans de vie commune et ils n'avaient rien en commun.
Commenter  J’apprécie          277
Sa lèvre inférieure tremblait. Elle en avait marre de pleurer. Il lui semblait qu'elle n'avait rien fait d'autre ces derniers mois. Si au moins elle y avait été préparée ! Le contraste était tellement énorme avec le tourbillon de bonheur qui, avait-elle pensé, allait l'emporter quand elle aurait son bébé.
Commenter  J’apprécie          270
Avant de perdre connaissance, elle s'était demandé combien de femmes à travers l'Histoire avaient fini leur vie avec la même vision : l'homme qu'elles avaient épousé, penché sur elles, le visage déformé, en train de les étrangler.
Commenter  J’apprécie          260
Les deux garçons s'illuminèrent en voyant Gösta dans son uniforme . [...]
- T'es un vrai policier ?T'as un pistolet ? T'as déjà tué quelqu'un ?T'as apporté des menottes ?T'as une radio pour parler avec les autres policiers ?[...]
- Ils vous font subir un interrogatoire en règle , je suis vraiment désolée , s'excusa Katarina en le précédant dans la cuisine .
- Pas de problème, j'aime bien les enfants . Il faut en profiter tant qu'on peut . Dans dix ans , ils crieront peut-être mort aux flics en me voyant .
Commenter  J’apprécie          260
La femme qui lui ouvrit n'avait pas l'air suédoise. Ce devait être la mère de Paula, la policière qui s'était offerte pour 'aider. Celle qui avait fui le Chili en 1973. Quel regard portait-elle sur la Suède ? Avait-elle supporté les même regards qu'eux ?Avait-elle été confrontée à la même méfiance , la même haine ? Mais c'était une autre époque .
Commenter  J’apprécie          250



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Camilla Läckberg Voir plus

Quiz Voir plus

Camilla Läckberg, biographie

En quelle année est née Camilla Läckberg ?

1972
1973
1974
1975

10 questions
108 lecteurs ont répondu
Thème : Camilla LäckbergCréer un quiz sur cet auteur

{* *}