Mon Dieu! fit-elle, je ne sais pas pourquoi on médirait du désir. Je casse une branche à cet arbre, j'en savoure le parfum et ensuite je jette la branche et je prends à l'arbre un autre rameau. L'arbre n'en meurt pas et à moi il me reste la joie exquise d'avoir, dans une sensation qui ne laissera pas de regret, aspiré en une seconde toute sa vie profonde. N'est pas là encore du bonheur?