AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Camille Lemonnier (29)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Un mâle

Jamais je n’avais lu une si belle description d’un lever du jour au printemps. Et c’est ainsi que débute ce roman du 19è, dont l’action se situe au coeur de la campagne wallonne. L’écriture tient ses promesses car l’on retrouve au fil des pages ce lyrisme séducteur, auquel s’ajoute des dialogues d’un grand réalisme, alliant des expressions du terroir et un parler rustique, plein de charme.

C’est une histoire d’amour funeste, de celles que l’on sent perdues d’avance. Germaine, encore fille à vingt et un ans (autant dire que l’espoir d’un mariage est bien mince), vaillante aux travaux de la ferme, est trop peu aguerrie aux choses de l’amour pour ne pas tomber dans le piège des regards enamourés du premier venu. Et pas de chance, c’est un asocial assumé, né dans les bois et autodidacte du braconnage. Qu’envisager d’autre que de se cacher, avec la complicité d’une vieille solitaire rouée, pour vivre ces amours interdites? Et lorsque la rencontre d’un autre galant potentiel vient mettre le doute dans l’esprit de la demoiselle, il y a un fort risque que cela tourne mal.



Totalement séduite par la beauté de cette écriture, j’ai également apprécié l’intérêt sociologique du roman, en tant que témoignage de cette vie rurale du 19è siècle, qui ligotait les relations sociales dans un carcan d’us et coutumes justifiées par la seule tradition. Et il aura sans doute fallu quelques Germaines, revendicatrices et insensibles à l’opinion au risque de s’immoler socialement, pour que germent dans les esprits des velléités de liberté.
Lien : http://kittylamouette.blogsp..
Commenter  J’apprécie          370
Happe-Chair

Zola borain, Camille Lemonnier nous raconte, dans les incandescences de la métallurgie fin 19éme, la vie sans surprise du brave Jacques Huriaux et de sa garce de femme Clarinette.



Ma cinquième étoile va à la richesse de la prose de Lemonnier, l'étendue de son registre entre de flamboyantes descriptions et de croustillantes expressions dont seul est capable le patois wallon!

Commenter  J’apprécie          353
La Noël du petit joueur de violon



« Ah ! qu’ils sont gais, les petits flocons de neige, lorsque, pareils à des papillons d’hiver bondissant sur le tremplin de la bise, ils montent, descendent, montent encore et qu’un enfant passe, à travers la fenêtre entr’ouverte, sa main dodue pour les saisir ! Qu’ils sont gais pour tout autre que le pauvre Francesco, dans cette nuit glacée de Noël. »



Ce conte n'est pas sans rappeler la petite marchande d'allumettes et l'un comme l'autre sont infiniment tristes. Ils se passent à Noël et mettent tous les deux en scène des enfants pauvres.

Ici il s'agit d'un petit garçon, Francesco, qui joue du violon pour subsister. il se heurte à la méchanceté et à l'égoïsme de tous, la famille Cappelle, ses domestiques (qui volent l'argent destiné au petit mendiant), la pâtissière tout en se flattant de faire le bien. Seule une petite fille adorable, la petite Hélène dite Leentje, fille de M Cappelle, essaie d'aider Francesco.

Commenter  J’apprécie          300
Au coeur frais de la forêt

Bouleversante rencontre de deux rebuts de la ville, deux gosses de dix ans, Frilotte et Petit Vieux qui, au 'coeur frais de la forêt' et au gré des rencontres bienveillantes vont se reconstruire, renouer avec l'essentiel.



Une fable pleine de sensibilité.



Je ne me souviens pas avoir autant savouré une prose, inventivité des mots, des aphorismes, et au delà des mots, dans le phrasé comme une musicalité qui régale.



Digne de figurer parmi les meilleurs nature-writing chez Gallmeister

Commenter  J’apprécie          294
Contes flamands et wallons : Scènes de la vie..

Quelques nouvelles, l'accouchement de Riekje dans la pauvre péniche de Tobias, l'égoïsme des riches et le cadavre gelé du petit violoniste Francesco, la nièce Truitje du silencieux cordonnier et les amusantes tractations en vue du mariage, Bloemetjte, la fragile fille du boulanger Jans attendant le Saint Nicolas, les médisantes amies de sa tante Thérèse.



Ecrit en 1872, c'est une intéressante immersion dans le petit monde flamand.

Commenter  J’apprécie          280
Adam et Ève

Anticipant le mouvement naturiste né en Allemagne dans l'entre-deux guerres, Camille Lemonnier, presque comme une fable ou un texte biblique, raconte l'homme vivant seul en forêt avec son chien, puis la rencontre et le nid d'amour qui se construit.



Homage à la femme et ses mamelles, à l'amour, à l'enfant, à la nature qui protège et nourrit l'artisan.



Mais que cette écriture est belle. J'avais le sentiment qu'elle me nourrissait!



Un roman digne de figurer au top des nature-writing chez Gallmeister!

Commenter  J’apprécie          260
L'Homme qui tue les femmes

Magistral ! Cette nouvelle a du énormément choquer à sa sortie. On se retrouve plongé dans la tête d'un tueur en série, qui nous explique tout son cheminement et les raisons qui le poussent au crime. Je ne sais pas si c'est le premier texte littéraire à aborder ce profil, mais il semble incroyable pour l'époque, même si Jack L'éventreur a déjà bel et bien sévi et défrayé la chronique. Ce texte d'ailleurs s'en inspire. C'est court mais c'est très fort !
Commenter  J’apprécie          220
Comme va le ruisseau

Entre 1870 et 1914 ans l’espace francophone européen l’institutrice et ses amours sont sujets de romans. En 1884 à Bruxelles paraît "Autour du clocher", sous la plume d’Henry Fève et Louis Desprez. Le sujet est scandaleux : un curé qui dénonce l’école laïque pratique l’amour libre avec l’institutrice de l’école sans Dieu.



À la Belle Époque toujours en Belgique mais en 1903 " Comme va le ruisseau" est publié ; son auteur est de Camille Lemonnier. Il est certes surnommé le "Zola Belge" mais avec son ouvrage on est bien loin d’œuvres « qui cuisinaient des choses pourries, qui déshabillaient les vices » pour reprendre les paroles d’un personnage d’"Autour du clocher". Voilà une institutrice telle qu’on la dressait sur un piédestal. Entièrement dévouée à ses élèves d’un milieu urbain et alors que l’air de la ville ne lui réussit pas, elle va refuser l’amour sincère d’un homme bon pour qui elle a des sentiments et qui en plus a un enfant qui n’a jamais connu de mère.



L’action se passe en Ardenne belge et l’héroïne donc échapper ce petit paradis pour retourner dans l’enfer des villes d’alors.

Commenter  J’apprécie          200
Un mâle

Je craignais un peu la lecture de ce roman naturaliste, mais j'ai été très agréablement surprise dès la première ligne: l'écriture m'a semblé très romantique, voire lyrique. Les descriptions de la nature et tout particulièrement des bois sont très précises et exprimées dans un style qui me plaît énormément. J'ai reconnu le mouvement littéraire naturaliste dans le traitement de l'histoire et dans le choix même de celle-ci (le déroulement et la fin d'une histoire d'amour entre un vagabond, un mâle, et une jeune paysanne dans un milieu rural et forestier) et pourtant, je ne peux m'empêcher d'y voir un réalisme très empreint de romantisme.

Une très belle œuvre dont je relirai volontiers des extraits, juste pour le plaisir de la beauté littéraire de ces descriptions.
Commenter  J’apprécie          130
L'homme en amour

L’Homme en amour de Camille Lemonnier, auteur du Possédé, entre autres, est un grand chant de l’amour physique, naturel, presque sacré dans son essence et dénaturé par une société paradoxalement viciée par l’idée de péché. Ce qu’affirme l’auteur, c’est en effet que le christianisme a mis le ver dans la pomme : c’est lui qui a perverti le rapport au corps et au plaisir ; c’est lui qui a généré la dépravation à force de nier la beauté simple et innocente de l’être charnel.



Le narrateur est une des victimes de cet amour devenu passion destructrice, il est la proie du désir épicé d’interdits et de fantasmes divers, de la Bête, comme il l’appelle, laquelle prend les traits de la très fin-de-siècle Aude. Aude au visage de carlin, Aude au corps sublime, incarnation suprême de la créature femelle décadente imaginée par les artistes du temps, mortifère, envoûtante, Circé noire et Salomé sortie d’un tableau de Moreau (oh ! la scène superbe où elle paraît parée de gemmes et de bijoux barbares), Ève biblique et Astarté vénéneuse… Cette femme invraisemblable et mystérieuse incarne dans sa domination totale l’éternel féminin maudit, qui soumet l’homme, annihile sa volonté d’idéal et dévore son énergie vitale.



La suite de la critique est sur mon blog !
Lien : https://litteraemeae.wordpre..
Commenter  J’apprécie          122
Une femme

Bonne surprise que ce petit livre.

Et pourtant:

- le résumé (une jeune femme mariée avec un vieux comte, devient la maîtresse d'un ami d'enfance),

- et le profil de l'auteur ("le Zola" belge) ne constituent pas un élan d'intérêt, du moins en ce qui me concerne.

Le langage un peu ampoulé de certaines descriptions de m'ont pas fait rebrousser chemin, et au fur et à mesure des pages, j'ai découvert une Suzy indépendante, ignorant volontairement les conventions, non pour provoquer, mais afin de se comporter de manière cohérente avec ses "principes" (amour quasi filial du comte, plaisir de moments de plaisir sans amour avec Philippe; évolution de ses principes après cosntat de son erreur quant à sa relation avec le comte.

De même le personnage de Philippe (l'ami d'enfance) , et notamment ses interrogations, sa franchise, et son auto-analyse de ses sentiments (ou plutot de leur absence) est intéressante, surtotu quand elle laisse la place à un "lâcher prise" qui lui permet de se contenter des moments que lui accorde Suzy

Bref un délicieusement suranné.
Commenter  J’apprécie          70
Un mâle

Comme quoi l'unnif parfois c'est sympa...Car il faut reconnaître que les programmes scolaires sont tout de même mal fait en Belgique. Certes il est nécessaire de découvrir les classiques Français mais où sont les classiques Belges...Nouille que je suis, je pensais que la littérature Belge commençait avec Nothomb. C'était loupé. Grâce à ce superbe cours de littérature belge, j'ai pu découvrir que mon beau petit pays regorgeait d'une littérature exquise. Ce roman en fait partie.

Superbe tableau (oui on dirait que l'auteur écrit/peint son oeuvre) de l'amour brutal et qui devrait rester interdit.

Je l'ai trouvé magnifique ce roman.
Commenter  J’apprécie          70
Comme va le ruisseau

Le récit coule comme le ruisseau. Rien ne se passe vraiment et les amours des protagonistes semblent davantage une amourette d'adolescent.



J'avais acheté ce livre car beaucoup de critiques, à l'occasion du centenaire de la mort de cet auteur belge, en font grand cas et estiment qu'est injuste l'oubli dans lequel il est tombé. Je ne sais si c'est injuste, mais en tout cas, ce livre ne me donne pas l'envie d'en ouvrir un autre.
Commenter  J’apprécie          60
L'homme en amour

Camille Lemonnier vit ce livre traîné devant les tribunaux en 1900 pour outrages aux bonnes mœurs. Situé à la charnière entre naturalisme et symbolisme, ce texte enflammé est un récit à la première personne d'un homme dont on ignore le nom, qui raconte d'où vient le mal qui le hante. Dès son enfance, confronté assez jeune à un désir irrépressible, il subit les brimades de son éducation religieuse et la peur du pêché. « Je n'étais alors qu'un jeune homme dépravé par l'excès de ses chastetés même ». De plus, il semble paralysé par le sexe féminin, sorte de bouche rouge d'un enfer qui le terrifie et l'attire tout à la fois. Dans son enfance, il fut subjugué par une jeune fille nommée Alise, tentatrice et esprit de la nature qui la première le prit dans ses filets et l'embrassa. Retrouvée morte, allongée dans l'eau, elle n'est pas sans rappeler le superbe tableau de John Everett Millais, Ophelia. Quelques autres femmes croiseront son chemin sensuel et initiatique qui marqueront à jamais ses fantasmes, ses terreurs, ses délires. Plus les années passent, plus l'obsession le ronge et corrompt ses sens et son esprit. Vient ensuite la rencontre la plus marquante. Face à lui dans un train (qui l'amène rejoindre son père sur son lit de mort / le sexe et la mort sont presque systématiquement associés et imbriqués et indissociables dans ce roman), une femme l'impressionne et échauffe ses sens mais semble ne pas se préoccuper de lui. Il la recroisera plus tard et à maintes reprises, jusqu'à la vraie rencontre. Elle s'appelle Aude. Dès le début elle revêt un aspect trouble et inquiétant, avec son « museau de chien », portant son veuvage et ses airs dominateurs partout où il se trouve. Leur relation perdure des années, sans jamais que l'Amour ne se manifeste, au grand désarroi de notre anti-héros qui vit avec elle « le grand frisson de la mort », une descente aux enfers du stupre et de la dépravation.

Écrit dans une langue incroyablement riche et travaillée, ce texte voue ses lecteurs à une malsaine ivresse et rappelle la beauté des tableaux de Khnopff ou Moreau, des vases de Lalique, portant ce que le décadentisme a de plus troublant et de plus fort.
Commenter  J’apprécie          50
Dames de volupté



Discret hommage à la conception platonicienne de la Beauté, mais vibrant hommage à la Beauté baudelairienne, la "Dame de volupté" du "Maréchal des lettres belges" a déjà plus d'un siècle, mais vrai: elle porte toujours beau!...
Commenter  J’apprécie          50
Le Possédé

Ce "Possédé" de Camille Lemonnier, publié en 1890, conte une histoire mille fois dite : celle du vieux magistrat qui, arrivé à l’automne d’une vie conformiste, se prend d’une passion destructrice pour une jeune femme qui le mène à sa perte et aux plus viles ignominies. Cette femme, la serpentine et exotique Rakma, tout droit sortie d’un tableau de Rops, est une créature diabolique et dominante, qui hait les hommes. Elle est une maladie qui ronge le vieil amant, physiquement d’abord (la déchéance est décrite par le menu), mentalement ensuite. Lemonnier décrit avec finesse la chute de l’homme, vidé par ce « charançon final » qu’est pour lui Rakma, vampire de son âme et de son corps usé.



Tout cela serait assez quelconque et commun – le terme même de « possédé » est souvent repris par les auteurs du temps pour évoquer les hommes en proie à l’obsession érotique –, n’était l’ajout d’ingrédients précieux et décisifs, tel l’onirisme. Un onirisme glacé qui évoque Redon, et inaugure le roman sous un jour funèbre et bizarre.



La critique dans son intégralité est à lire sur mon blog !
Lien : https://litteraemeae.wordpre..
Commenter  J’apprécie          40
L'hallali

Roman tardif de Camille Lemonnier, paru en 1906, cet "Hallali" porte bien son nom. D'abord par la grande noirceur de son sujet : un baron couvert de dettes, âgé mais pas du tout prêt à rendre les armes, est en conflit avec sa famille légitime (un fils peu sympathique qui lui sert d'ouvrier agricole pour tenter de maintenir ce qu'il reste de son château, sa bru fainéante et hypocrite, ses deux petits-enfants qui sont les souffre-douleurs de tous) mais aussi avec tout ceux qui tirent profit de ses appétits divers, domestiques, bâtards... Le style de ce roman est très puissant, sa noirceur confine parfois à une sorte de gothique paysan. A découvrir.
Commenter  J’apprécie          30
24 contes de Noël

Pour entrer dans la magie de Noël



J’avoue j’ai fait ma sale gosse et je n’ai pas respecté le principe du calendrier de l’Avent. J’ai terminé 24 contes de Noël Calendrier de l’Avent féerique alors que nous sommes le 22...



24 plus ou moins longues nouvelles/histoires/contes par des auteurs classiques à lire chaque jour de décembre, comme le calendrier de l'Avent des enfants, sans les chocolats...

Sur le principe - auteurs classiques et calendrier de l'Avent - je trouve le bouquin génial maintenant toutes les nouvelles ne se valent pas.

J’en avais déjà lu la majorité mais c’est toujours un plaisir de retrouver les plumes de Maupassant, Daudet ou Hoffmann.

D'autres ne m'ont pas séduite mais je suis tout de même contente d'avoir pu les découvrir.



Évidemment le meilleur conte est le dernier. Les contes de Noël de Dickens, avec Scrooge et les esprits des Noëls passé, présent et futur est un délice dont je ne me lasse pas.

D’ailleurs il faut absolument que j’achète l’adaptation en manga pour ma fille, je suis certaine qu’elle va adorer également cette jolie histoire.



Par contre j’ai toujours autant de mal à adhérer à Hans Christian Andersen.

Le monsieur était dépressif ? Il détestait les enfants ? Ou bien était-il payé pour écrire des histoires qui les effraient ? « Attention, si tu n’es pas sage, ce soir je te raconte une histoire d’Andersen ! ». L’ultime menace.

La petite fille aux allumettes a été un « traumatisme » petite fille. Aujourd’hui je la trouve toujours aussi triste et glauque.

Et tous les contes de Noël d’Andersen sont du même tonneau. Le gentil petit enfant meurt systématiquement à la fin. Bon sang, même le sapin m’a fait pitié !

Quelle était la morale que l'auteur voulait que les enfants retiennent ? Sois reconnaissant auprès de tes parents car tu pourrais être en train de mourir gelé dans la rue ?

Non, vraiment, les contes d'Andersen ne sont vraiment pas mes favoris...



Une lecture sympathique qui a le mérite de réunir de grands auteurs en un seul et même volume si on ne les avait pas lus avant (et qui me fait avancer dans le Rory Gilmore Reading Challenge).
Lien : https://demoisellesdechatill..
Commenter  J’apprécie          20
Un mâle

Lemonnier Camille

Le mâle

Un auteur Belge (plusieurs rues ici chez moi portent son nom)

C’est écrit un peu comme de la poésie tellement il y est décrit la douceur de la nature et sa beauté alors qu’à côté de cela vit l’homme des bois Cachaprès, braconnier, vivant de chasse et de pèche depuis son plus jeune âge, c’est l’homme des bois et pourtant jamais attrapé par le garde chasse.

Et pourtant un jour il découvre Germaine, une jeune fermière, qui a des prétendant mais pas encore mariée.

Elle va succomber à cet homme, puissant et mâle, particulier et dur et pourtant elle est comme envoutée. Mais bien entendu il faut se cacher car lui se cache toujours, et elle accepte, mais pas longtemps ; elle voudrait rompre, mais il est terriblement jaloux. Elle va en mourir.

Ce livre date de 1881, il faut admirer la forme de l’écriture, les descriptions des fêtes de l’époque, les kermesses, toutes les coutumes des villageoise de l’époque, puis cet amour fou, cette attirance due à cette différence de vie et de pensée.

C’est très agréable à lire et je pense peu connu.

Commenter  J’apprécie          20
L'Ange noir : Petit traité des Succubes

Petit traité de moi. J'aime !
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Camille Lemonnier (184)Voir plus

Quiz Voir plus

Bilbo le hobbit

Comment s'appelle Bilbo?

Bag
Baggins
Bagins
Bagin

9 questions
1147 lecteurs ont répondu
Thème : Bilbo le Hobbit de J.R.R. TolkienCréer un quiz sur cet auteur

{* *}