Le duc n'est pas de ces maîtres qui veulent qu'on les aime, il s'aime assez lui-même pour cela. Il est convaincu que l'homme est un loup pour l'homme et déteste les parlementeries. Pour lui, si grave que soit la crise ou la décision à prendre, rien ne sert d'attendre de prime à tierce pour se déterminer. les conseillers savent qu'ils ne sont que d'apparat, car c'est toujours le duc qui tranche, et vitement.