Soir après soir il rentre dans son appartement solitaire qui retourne à la solitude chaque matin après son départ. Les voisins ? Un tas de disques rayés sans intérêt. Le comité ? Il suffit de faire profil bas, de lancer quelques “viva !” et on n’a pas d’ennui.
En fait, personne n’en a rien à fiche de personne.