La vie était laide, faite d’hommes et de femmes violents et sans scrupule, avides de pouvoir, de sexe et d’argent. Mais, pendant une minute, j’avais envie de croire que Matisse avait raison. Pendant une minute, je voulais oublier la réalité et me laisser aller à croire comme lui que l’amour existait et qu’il n’était pas simplement synonyme d’attirance sexuelle.