De même que les tyrannies s'élèvent, grandissent et se consolident, de même grandit en leur sein le germe fatal d'où sortiront pour elles le trouble et la ruine. Les auteurs ne font pas assez ressortir un contraste plus frappant : en ce temps là, Florence était occupée du développement le plus large des individualités, pendant que les tyrans n’admettaient d'autre individualité que la leur et celle de leurs plus proches serviteurs.