C’est lorsqu’on est touché au plus profond de nous-même qu’on réalise à quel point c’est difficile de prononcer certains mots...
Ils s’étaient rencontrés et tout de suite le courant était passé. D’abord amis, puis un peu plus, finalement l’amitié fit place à l’amour. Le véritable amour, le plus pur qui soit. Ce ne fut donc pas le coup de foudre. Ils n’y croyaient pas, mais il existait entre eux un lien, une connexion qui les liait l’un à l’autre. Ils leur suffisaient de se regarder, de se sourire, sans dire un mot, ils savaient ce que pensait l’autre. Pour leurs amis, cela s’apparentait plus à de la magie qu’à de la complicité et beaucoup les regardaient avec envie.
Le bonheur, sentiment étrange, difficile à expliquer, personnel et qui souvent ne tient qu’à un fil. Une fois obtenu, on pourrait se le représenter comme un petit oiseau tenu entre les mains. Si on le serre trop fort, on l’étouffe. Si on ouvre trop les doigts, il s’échappe.
Quand on aime, on devient con…
On met notre cerveau en veille car l’amour n’a rien de réfléchi. On accepte de souffrir. Et plus on aime, plus on souffre.
Les femmes sont différentes des hommes. Quand elles veulent quelque chose, elles emploient tous les moyens pour l’obtenir.
« La culture, c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale ».
Françoise Sagan