Mais Brauer a toujours été un lecteur compulsif.Tout son argent finissait dans les livres.Dés que j'ai fait sa sa connaissance il y a des années chez les bouquinistes du marché de Tristan Narjava,j'ai su que son obsession était incurable.Cela se voit à la peau légèrement parcheminée de ceux qui sont atteints de cette maladie.p.46