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3.27/5 (sur 915 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : New York , le 28/07/1956
Mort(e) à : Los Angeles , le 12/06/2023
Biographie :

Carol Higgins Clark est une romancière américaine. Elle a écrit des romans en collaboration avec sa mère Mary Higgins Clark.

Elle reçut son diplôme de Bacc. des arts du Mount Holyoke College en 1978.

Elle a, par la suite, étudié et été actrice à la Beverly Hills Playhouse. Elle est aussi l'auteur de la série Regan Reilly.

Source : Wikipedia
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Dédicace exceptionnelle de Mary et Carol Higgins Clark au Furet du Nord de Lille - 28/05/11 Mary HIGGINS CLARK, « Quand reviendras-tu? » et Carol HIGGINS CLARK « Tempête sur Cape Cod » Ed. Albin Michel. Pour Alexandra, le cauchemar commence il ya deux ans. le jour où son petit garçon a été enlevé dans Central Park. Qui est le ravisseur ? Pourquoi vient-on seulement de révéler une série de photos qui semblent prouver la culpabilité de la mère ? Qui manipule qui ? Avec ce portrait de femme aux abois, Mary Higgins Clark retrouve le rythme haletant et l'ambiguïté de ses plus grands suspenses. Elle est accompagnée de sa fille Carol. Son nouveau roman est impossible à lâcher : l'intrigue aux multiples rebondissements mêlée à son humour légendaire fait de Tempête sur Cape Cod une lecture idéale !

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Citations et extraits (144) Voir plus Ajouter une citation
Si leur goût du sport cause leur perte, répondit-il en riant à son tour, cela prouverait qu’il faut le pratiquer avec modération.
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Le téléphone sonna. Regan, un peu groggy, ouvrit les yeux et tendit la main, farfouillant pour trouver le récepteur. Des doigts se refermèrent sur son poignet. Un main s'abattit sur son visage. Elle sentit qu'on voulait enfouir sa tête dans l'oreiller. Electrisée, elle planta ses dents dans la main qui était pressée contre sa bouche.
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A seept heures moins cinq, Cameron Hardwick était prêt à rejoindre le bar jouxtant la salle à manger King Arthur. Il savait que de nombreux passagers avaient coutume de prendre l'apéritif avant le dîner et, de toute façon, les personnes qui avaient leur table réservée au King Arthur devaient passer par le bar. Il voulait se trouver en un endroit d'où il pourrait suivre Lady Exner à l'intérieur de la salle à manger et se placer lui-même, sinon juste à côté d'elle, du moins le plus près possible. Sa compagne, pensa-t-il, devait avoir entre vingt-cinq et trente ans. Serait-ce astucieux de lui faire du gringue? Cameron réfléchit. Peut-être.
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Si vous voulez en savoir davantage sur ma vie , interroger Norman .Je lui ai écrit en premier ; je n'ai plus la force de continuer à présent.
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- Quel délicieux repas, commenta Regan en jetant un regard amusé sur l’assistance débordante de bonne humeur. C’était l’endroit idéal pour inaugurer le week-end. Je ne viens pas assez souvient dans ce quartier. J’y retournerai.
Elle ne pouvait pas se douter qu’à moins de cent mètres de là, un crime était en train de se perpétrer. Un crime qui allait l’amener à hanter le quartier de Gramercy Park beaucoup plus tôt et plus souvent qu’elle ne s’y attendait.
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Arrivée à Aspen en 1967, à l'âge de dix-huit ans, Daisy en avait maintenant quarante-six. A l'époque, la réputation d'Aspen en tant que lieu où la liberté, sinon la licence, régnait sans partage, se répandait chez les hippies du nord au sud et d'est en ouest. A peine sortie de la high school, Daisy avait sauté dans sa Coccinelle volkwagen rouge et traversé le pays vers ce paradis terrestre en compagnie de deux amies. Elles n'avaient pas l'intention de s'y fixer, tout au plus d'y passer l'été avant de gagner les horizons psychédéliques de la Californie, terre promise des "Flower Children", où la fumée des herbes annonciatrices d'amour et de concorde universels embaumait l'atmosphère.
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Athena descendait en courant à l'aveuglette le chemin de campagne obscur. Elle haletait bruyamment, le souffle court. La veste de son collège, avec l'écusson de Saint-Polucarp cousu sur sa poche, ne la protégeait nullement de la pluie printanière qui s'était mise soudain à tomber à verse. Son sac à dos, accroché à ses épaules, la gênait dans sa fuite. Il ne lui vint pas à l'idée de s'en débarrasser.
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- Quelqu'un a -t-il des poèmes qu'il aimerait réciter ? demanda à l'auditoire Byron Frost, épuisé par l'émotion.
Bien avant que Veronica ne bondisse sur ses pieds, Regan s'arma de courage sachant que Sir Gilbert était sur le point d'être ressuscité.
- Mon cher mari qui nous a quitté, Sir Gilbert Exner était poète. A tout moment et en tout lieu, il écrivait des poèmes. Quand nous étions couchés, il me prenait dans ses bras et récitait ses œuvres favorites. Peu de temps avant sa mort, il m'a serrée contre lui et a murmuré ses derniers vers :
"Je voudrais dire, dire, dire
Ou encore écrire, écrire, écrire..."
Ce qui serait pire, pire, pire, pensa Regan.
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Ses examens passés, elle avait travaillé chez un vieux détective de Los Angeles qui l'avait prise sous son aile. Depuis deux ans, elle travaillait enfin à son compte. Mais ses parents, Luke et Nora Reilly, n'aimaient pas qu'elle eût choisi cette carrière. (...)
Regan avait discuté avec eux. "J'ai un père qui possède trois entreprises de pompes funèbres et une mère qui écrit des histoires sur des auteurs de meurtres en série. Et vous voulez que j'exerce un métier "normal" ? "
A leur grand désespoir, Regan adorait son travail.
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Parmi les nombreux projets de Jack et Regan pour leur voyage de noces en Irlande, la nécessité de sauver leurs vies en courant à travers le hall enfumé de Hennessy Castle au beau milieu de la nuit n'avait pas même été envisagé. Encore à moitié endormis, les clients affolés déboulaient de partout, beaucoup encore en pyjama ou chemise de nuit. Les femmes coiffées et maquillées à la perfection au dîner, avaient l'aspect pitoyable des photos "avant" dans les publications des produits cosmétiques censés les métamorphoser en reines de beauté.
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