Il me fait souvent remarquer que je passe trop de temps le soir à raconter des histoires aux enfants : je les empêche de dormir et je les gâtes trop. Et en effet, je finis par croire que je suis une mauvaise mère.
Mon bébé dans son fauteuil, avec un biberon suspendu par une corde, à portée de sa bouche, sans son père à ses côtés. Vision d’horreur ! (…) Jean, en revanche, a été très content de son innovation.
Mon indépendance, mon identité, mes ailes. Parce ce que j'ai envie de faire ce que m'avait imploré une de mes filles: Vole, maman vole! Si toi tu voles, nous aussi on pourra voler!