J'avais volontairement omis de parler de l'épisode du loup. L'opinion publique était encore très divisée sur le sujet. De plus, après sa rencontre houleuse avec le ministre de l'Agriculture au Salon, je craignais de jeter de l'huile sur le feu. Je ne faisais pas partie de cette race de reporters qui, sous prétexte d'informer les lecteurs, écrivait des brûlots pleins d'accusations, perdant toute objectivité et impartialité.