À peine les marins étaient-ils revenus, le corps meurtri par leurs éternelles luttes contre la mer, qu’ils en redemandaient et repartaient sur le pied de guerre, jamais rassasiés de ces coups de fouet qui pleuvaient de tous côtés, de la tempête, des vagues, du froid, de la mauvaise nourriture, de l’hygiène épouvantable, de la grossièreté de leur langage entre eux, de la violence qui s’abattait, comme par hasard, sur les plus faibles. (p. 503, Chapitre 3, “Le Marin”, Partie III).