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3.31/5 (sur 131 notes)

Nationalité : Australie
Né(e) à : Londres , le 01/08/1923
Mort(e) à : Sydney , le 15/05/1985
Biographie :

Carter Brown est le nom de plume adopté par Alan Geoffrey Yates.

Après avoir suivi ses études secondaires à Essex, en 1942, il intègre la Royal Navy, qu'il quitte en 1946 avec le grade de Lieutenant de la Marine Royale Britannique. Il travaille alors pendant près de deux ans comme preneur de son chez "British Acoustic Films", filiale de la Gaumont britannique.

En 1948, Alan Yates émigre en Australie, obtenant sa naturalisation l'année même. Il travaille aux services des Relations Publiques de la compagnie aérienne "Quantas", pour laquelle il rédige aussi les catalogues publicitaires.
Il commence à écrire quelques nouvelles, et début des années 1950, il est contacté par les Éditions Horwitz pour participer à la série "Horwitz Scientific Thriller". Entre 1951 et 1954, ce sont quelques 50 nouvelles qui vont être publiées sous le pseudonyme de Tex Conrad, dans une édition bon marché "Lovely mystery series", allant du genre Policier au Western, de la Romance à l'Horreur.

Dès 1951, avec son roman "A death date for Dolores" publié sous le pseudonyme de Peter Carter Brown, il devient célèbre en Australie.
Entre 1951 et fin 1952, il a déjà écrit une vingtaine de romans, mais c'est en 1953, avec la publication de "Venus Unarmed" qu'il atteint les sommets de la célébrité et cesse de travailler pour se consacrer à l'écriture.

Il devient un prolifique auteur de romans policiers sous le pseudonyme de Peter Carter Brown puis simplement Carter Brown pour satisfaire au goût du marché américain.
Il publie aussi sous son propre nom et utilise d'autres pseudonymes : Caroline Farr (avec Lee Patterson et Richard Wilkes-Hunter), Tom Conway, Paul Valdez.

Ses romans, d'abord destinés au public australien, sont rapidement publiés aux États-Unis aux éditions Signet puis en France, dans la Série Noire des éditions Gallimard à partir de 1959. Il publie plus de 200 romans de 1953 à 1981. Il réalise ainsi plusieurs séries avec divers héros récurrents, généralement des détectives, Al Wheeler, Danny Boyd, Rick Holman, Mavis Seidlitz, Randy Roberts, Larry Baker, Paul Donovan, Mike Farell ou Andy Kane.
Ses ouvrages ont fait l'objet d'une série radiophonique en Australie, ainsi que d'un spectacle musical, "The Stripper", présenté à Sydney en 1982.

Certains de ses livres ont été adaptés au cinéma français dont "Touchez pas aux blondes" (1960), réalisé par Maurice Cloche d'après le roman "A pâlir la nuit".
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Citations et extraits (556) Voir plus Ajouter une citation
Charlie Katz, employé de la morgue, pousse un grognement de soulagement en replaçant l'énorme bocal sur l'étagère. A l'intérieur du bocal, une tête, tranchée net au niveau de la pomme d'Adam, se balance doucement dans le formol. Ça me rappelle ma tante Clemie. Pour les conserves en bocaux, elle était imbattable.
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Maman me disait toujours qu'une fille doit se marier pour l'argent. Regarde ce qui m'est arrivé quand je me suis mariée par amour.
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Elle est belle, follement riche et probablement dingue. C’est ce que tout le monde prétend. Elle m’a raconté que son papa, un fier salaud, méditait de zigouiller tous ses enfants pour hériter d’eux. Original, non ? Parait-il que son petit frère y est déjà passé et elle m’a chargé d’aller kidnapper sa petite sœur séquestrée dans une ferme. J’y vais, je trouve la sœur en bonne santé. Pourtant en visitant la porcherie, je tombe sur un cochon - un vrai à quatre patte et avec un groin – en train de dévorer une main d’homme !
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Il y a assez longtemps que je hante Hollywood pour connaitre la bizarrerie et la complexité de ses rites tribaux, et la gamme savante des critères et signes symboliques qui déterminent le standing de chaque individu dans l'industrie du cinéma, mais c'est la première fois qu'il m'arrive de rencontrer un homme qui se tient à la pointe du mât totémique et c'est pour moi une expérience du plus haut interêt.
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- vous ne pouvez pas frapper lieutenant,
c'est plus poli,vous savez.
- je suis bien content que ce soit vous,et non pas un de mes plus affreux cauchemar
brusquement matérialisé,je lui déclare en
toute sincérité.qu' est ce qui se passe?
- je vais mon travail, tout simplement,
lieutenant, et je vous parie a cinq contre un
que vous ne pouvez pas en dire autant.
- écoutez, avec deux balles dans le crane,
le gars est mort. il faut être docteur pour
s, en apercevoir?
- ça aide, dit il.
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- Vous ne pouvez vraiment pas penser à autre chose ? demanda Annabelle Jackson avec un soupir excédé.
- Je ne sais pas, répondis-je. Je n'ai jamais essayé.
- La prochaine fois que je prends un taxi avec vous, Al Wheeler, lança-t-elle en cherchant son souffle, je mets un soutien-gorge en duralumin !
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lavers convoque al .
- al , vous savez que la Californie a le plus
de cinglé au mètre carré?
- je suis d, accord,chef .
- il y en a un nouveau, il se fait appeler le
prophète. il s'est installé à trente kilomètres de la ville, au sommet du mont chauve.
- il vend une lotion capillaire?
- ce qu'il vend, c'est le culte du soleil, et il
le vend fort bien. ils a attiré la haut une
flopée de gens de la haute et je n'aime pas ça. vous allez monter la haut ce soir
histoire de jeter un coup d'oeil.
- pourquoi ce soir?
- parce que nous sommes vendredi, la
soirée la plus propice de la semaine. il
veux construire un temple au sommet de la montagne. et ça va coûter cent mille dollars et beaucoup de gens ont déjà
casqué.
- vous voulez que je l, oblige à restituer le fric .
- il s, agit vraisemblablement d'une vaste
escroquerie. je tiens à être fixé là dessus
et je vous charge de me renseigner.
- je vais lui demander, qu' est ce que je fais s, il me dit non?
- quand c'est une femme qui vous le dit,
vous n'êtes jamais embarrassé. alors
mettez votre expérience en pratique.
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- Est-ce que vous vous rendez compte que c'est le deuxième dollar que je gaspille pour vos beaux yeux, Annabelle Jackson ? Et vous ne daignez même pas venir jeter un petit coup d'oeil à mon appartement !
- Vous oubliez le taxi, répondit-elle d'un air candide. À moins que le chauffeur ne vous ait payé sa place de voyeur ?
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Le Bristol est un des rares vieux hôtels de New-York qui aient réussi à maintenir leur standing. Vous pouvez encore monter dans un de ses ascenseurs avec l'assurance, confinant presque à la suffisance, que vous ne serez pas assommé et dévalisé durant le trajet.
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C’est comme ça que Cora Korina regarde Gregory Peck dans le film, quand elle lui explique qu’en réalité elle n’est pas la fille du marchand de cacahuètes du coin, mais une millionnaire, propriétaire du gisement pétrolier où il travaille et de trente-neuf autres par-dessus le marché. Alors, au moment où Gregory récolte ce regard incendiaire, il se dégonfle, comme qui dirait, et déclare qu’après tout il se fiche pas mal qu’elle ait trente millions de dollars. Il l’épousera quand même, na !
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